L'apprentie
Datte: 24/02/2018,
Catégories:
fh,
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collection,
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Masturbation
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... ou la caresser, il lui fit enfiler une capote sur sa bite dressée, la retourna et, d’une seule poussée, entra dans son cul. J’étais fascinée par l’image que je voyais : mon mari enculer une fille ! Je dus avouer que cela me troublait, alors que sur les films pornos, je n’aimais pas ce genre de scène. Mais là : la fille était si petite et si frêle, son cul si menu, qu’il semblait presque impossible que le fort sexe de Vladim, si volumineux, puisse ainsi la prendre. Et pourtant, non seulement il arriva à mettre presque entièrement sa queue dans ce petit cul, mais encore il se mit à aller et venir, comme il l’aurait fait dans mon con. Quant à la fille, son visage n’exprimait aucune douleur, au contraire : elle semblait prendre plaisir à ce qui se passait, ouvrait la bouche et son gémissement n’était certes pas poussé sous le coup de la douleur – ce qui aviva encore ma jalousie. Ce n’était qu’une pute payée par mon mari, et il lui donnait un plaisir que j’aurais pu lui procurer ! Il déchargea bientôt, mais cela me rendit encore plus amoureuse, car cette séance de baise sans vrai désir avait été un peu triste, et pourtant, ce fut mon nom qu’il prononça : — Ludivine, oh ma Ludivine, je vais jouir en pensant à toi, uniquement à toi. Quand la scène fut finie, je demandai doucement à Vladim la permission d’éteindre les écrans. Je lui dis que je l’aimais plus que jamais, que je n’étais certes pas jalouse sinon du pied que cette fille avait pris, que la séance m’avait même excitée, ...
... mais qu’il fallait que je repense à notre situation. En tout cas, lui dis-je en pleurant de nouveau, s’il le fallait, j’irai moi-même au Japon : car le voir ainsi faire l’amour me donnait une telle envie de lui que j’étais prête à tout, et j’insistai sur ce « tout », pour que nous puissions nous retrouver. La fille était partie, je repensais que Vladim ne l’avait ni embrassée, ni même caressée, se contentant de retrousser sa robe et de dévoiler son cul, sans même être curieux de ses seins – il est vrai que ceux des japonaises sont souvent menus, et que Vladim préférait avant toute chose les seins plus épanouis, comme les miens… J’admirais pleinement mon mari – il était tellement plus franc que moi ! Aussi, quand l’écran fut fermé, je restai un long moment, fumant une cigarette américaine, à réfléchir à ma conduite. Je me trouvais parfaitement égoïste, et idiote… Enfin, prenant mes résolutions, j’envoyai un sms à Laurent, qui me donna son adresse mail : je rédigeai à son intention un long message, nous correspondîmes ainsi pendant huit ou neuf mails, car Laurent me posa des questions et je répondis de manière très précise. Et quand j’allai me coucher ce soir-là, toutes mes dispositions bien prises pour le lendemain, je m’endormis enfin du plus paisible des sommeils – car je savais que, tout à fait librement, je m’apprêtais à devenir enfin celle que Vladim avait décelée en moi. Les retrouvailles Le lendemain était une belle journée, et je choisis, dans ma garde-robe, la tenue que ...