Deuxième fois : Une semaine plus tard
Datte: 11/07/2017,
Catégories:
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Voyeur / Exhib / Nudisme
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... Vanessa a bien vite couru sur sa paume, traçant les précieux numéros. Christophe rigole de manière pas très discrète, et ne peut s’empêcher de commenter : — Pas de papier, un arbre sauvé, c’est bon pour la planète ! En faisant mine de ne pas avoir entendu, Grégory complète, en chuchotant : — Appelez-nous demain soir. Je vous garantis que vous ne serez pas déçus. Ce petit intermède semble avoir perturbé la classe, puisse que la thérapeute attentive s’est approchée d’eux, formulant sa demande, avant même que Marylène ou Christophe, n’aient eu le temps de les questionner : — C’est bien, je vois que vous avez fait connaissance. À présent concentrez-vous sur ce que je vous ai demandé, si vous le pouvez. Nous en reparlerons la prochaine fois. Chapitre 4 Dans la salle entière, à présent, au silence, se joignent les murmures tamisés de quelques soupirs qui se croisent, en effleurements douceur sur les visages détendus. Chaque couple se prend à ce petit jeu. Les caresses se multiplient, les gestes hardis prennent le dessus sur les pensées qui se retenaient jusqu’à présent. Marylène se tourne. Se plaçant, dos à la salle, elle s’assoit en tailleur. Christophe s’installe derrière elle. Assis, ses jambes allongées l’entourent. Il cale son bas-ventre contre ses fesses. Ses deux mains, libres et volontaires, forment un réceptacle et reçoivent les sphères souples mais fermes de sa chérie. La chair, ronde et pulpeuse, prisonnière de la dentelle blanche que l’on devine sous le corsage, se ...
... gonfle d’un ardent espoir. Si la poitrine rose et douce, généreusement offerte, sous son habit de para, pouvait être maîtresse, elle se libérerait de son soutien, sans plus attendre. Aussi beau soit-il, le tissu fin céderait en déchirure nécessaire sous l’impatience des mains avides. Mais, en sage manipulateurs, les doigts de Christophe, chauds et réceptifs, ont perçu cet appel, et se hâtent à délivrer les belles. Patiemment, il s’affaire à déboutonner les minuscules liens qui ferment le chemisier blanc. Pas tous, juste les quelques boutons qui osent faire barrage à son avancée. Marylène l’encourage par un : — Hummmm… C’est bon… Caressantes, les mains s’enhardissent, proposant de savoureuses caresses. Elles vagabondent en gestes symétriques sur la dentelle devenue trop présente. — J’ose ? Ou j’ose pas ? demande Christophe. Il ne souhaite qu’une seule chose, celle qui envahit sa pensée, bien plus vite que les mots, et plus hardie que les gestes : — Allez, allez, dis-moi oui ! Laisse-moi délivrer tes seins. Je veux les palper, les malaxer, les plaquer contre ton corps, les écraser dans mes mains. Je veux que tu te cabres de plaisir, que tu me gémisses, pleine d’ardeur, au creux de l’oreille, des encore, encore, sans fin. Dis-moi oui, que je dévore ton cou pour attiser mon désir. Supplie-moi de venir prendre chacune de tes mamelles, tour à tour, dans ma bouche goulue, pendant que je cramponnerai ta chevelure à pleines mains. À peine a-t-il eu le temps de réaliser que la réponse de ...