1. Valérie, ronde et docile. (2)


    Datte: 26/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Une relation suivie : Plusieurs mois se sont passés et maintenant, nous nous retrouvons des après-midis entières, à nous caresser longuement et à nous embrasser sur le canapé, la nourrissant de ces tendresses qui lui font tant défaut. J’aime regarder le visage d’une femme, les yeux fermés, qui s’abandonne à de tendres baisers. Surtout qu’ensuite je verrai ce même visage déchiré par la douleur, hurler à plein poumon ! Mon plus grand bonheur ! Aujourd’hui, j’ai décidé de lui faire franchir un pas. Après deux orgasmes pris dans le lit conjugal, je l’ai emmenée dans la salle de bain et la punition traditionnelle a commencé. Le cul à nouveau bien rouge, les fesses se secouant nerveusement par spasmes et le souffle coupé, je regardais Valérie dont les larmes avaient coulé sur ses joues et s’égouttaient sur ses seins. Je les suçais et léchais les larmes au goût salé, avant de lui annoncer que je voulais qu’elle m’offre plus. « Je ne supporte pas l’idée de te laisser avec lui et de savoir qu’il va profiter de ma petite copine, après ce qu’on a vécu. Je veux te démonter le cul, tant pis pour ta douleur, mais au moins je serais sûr que tu ne te laisseras pas caresser avant au moins deux jours ! Tu serais d’accord ? » « Oui, dit-elle, la voix entrecoupée de sanglots, tout ce que tu voudras. » Je l’ai donc raccompagnée au salon et je l’ai fait s’allonger sur le canapé, un oreiller sous le ventre pour rehausser ses fesses un peu plus. Je lui ai demandé de s’étendre jambes tendues et ...
    ... d’enfoncer ses mains dans les coussins car elle n’avait pas le droit de résister. Je la contemplais un instant, le visage enfoui dans un petit coussin mauve, regardant les grosses fesses qui se contractaient nerveusement sous l’attente et je prenais un malin plaisir à caresser son dos et ses cuisses, en défaisant ma ceinture de cuir. Je me suis reculé, la bande de cuir pendant au bout de ma main et j’ai attendu un instant. « Tu comptes 10 coups ! » Alors j’ai levé ma main et j’ai étalé la ceinture sur ses grosses fesses dix fois de suite, la faisant hurler dans son coussin, se cabrant à chaque impact et gigotant des jambes. Je relevais à chaque fois la ceinture et la rabaissais avec violence sur son opulent postérieur, la laissant s’étaler sur tout son long dans un claquement qui résonnait dans la pièce, avant de la voir rebondir et remonter en l’air, prête à repartir. Au 10e coup, j’ai écouté le hurlement d’agonie qui sortait de sa bouche étouffée par l’oreiller et, lâchant la ceinture, je me suis branlé, éjaculant rapidement de longues traînées de foutre blanc sur le cul rouge, strié de lignes larges qui tournaient au violet. Elle continuait de crier et de pleurer dans son oreiller, se tortillant comme un ver coupé sur son canapé, mais jamais elle n’avait mit ses mains pour se protéger. Je me penchais doucement vers son visage et, posant de petits baisers sur son épaule et son cou, je lui murmurai : « Tu peux me demander de la crème, mais j’aimerais que tu restes avec le cul en ...
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