1. Valérie, ronde et docile. (2)


    Datte: 26/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... feu pour moi. Si tu fais cela, tu me rendras vraiment heureux, car je verrai ce que tu es prête à subir pour me garder rien que pour toi ! » Après de nombreux sanglots, elle me répondit d’une petite voix : « d’accord, tout ce que tu voudras. » Elle avait tourné la tête vers moi et je déposai un tendre baiser sur sa bouche trempée de bave. Je l’ai abandonnée dans cet état, il était 17h15, il était temps de rentrer. Le cocu n’allait plus tarder ! Je l’ai revue 1 à 2 fois par mois, en fonction de l’état de ses fesses... Un soir, un match de foot entre 2 grandes équipes me donna une idée : la soirée Tupperware entre filles. Un excellent moyen de passer une soirée sans éveiller les soupçons. Je suis passé la prendre à 20 heures, elle avait laissé son homme avec ses potes et assez de bière pour toute une équipe de foot. Elle s’est engouffrée dans la voiture, toute mignonne, avec ses cookies préparés pour l’occasion. La soirée commençait par un grand restaurant (toujours l’éblouir pour obtenir ce que je voulais !). Et puis, on avait rejoint ma maison. Un tour du propriétaire pour la faire rêver de devenir l’officielle et je l’avais conduite à la cave : changement de programme pour aujourd’hui, on commence par la punition ! Elle s’était avancée dans la pièce sans fenêtre. Dans un coin, des martinets, fouets et liens étaient suspendus, le long d’un mur, un cheval d’arçon sans poignet avec un côté relevé et au fond une croix en bois, en forme de « X » avec des anneaux à chaque ...
    ... extrémités. « C’est ici, que j’amène mes conquêtes d’un soir …Non, je plaisante, je réserve cette pièce à celles qui en valent vraiment la peine ! » Au milieu du plafond, il y avait un anneau et une corde y pendait. Je la poussais juste en dessous et je lui enlevais son blazer. Je lui demandais de défaire son chemisier et je la laissais plantée là, les bras croisés sous ses gros seins, gonflant un joli soutien-gorge noir à dentelle. Je revenais et lui attachais des bracelets de cuir aux poignets que je réunissais avec la corde. Tout en discutant, je m’approchais du mur et, à l’aide d’une poulie et d’une manivelle, je faisais remonter la corde. C’est le regard inquiet, qu’elle regardait remonter ses bras, jusqu’à être tendus au dessus d’elle. Alors, je décrochais un fouet à lanière de cuir ronde et fine. « Tu n’as jamais senti la morsure du fouet, n’est-ce pas ? » « Heu, non. Ca fait mal ? » Dit-elle le cœur battant. « Oui, mais tu peux hurler ici, personne ne t’entendra ! » Alors, je levais le bras et je la cinglais à la taille. Elle hurla sous la douleur. « Haaa !!! Moins fort ! » « Désolé, on n’a pas le temps ! » Et je repris, faisant siffler la lanière de cuir avant de la voir s’enrouler autour de son gros cul, en un claquement sec, vite suivi du cri de la belle Valérie. Après 10 coups, je m’approchais et contemplais ses yeux pleins de larmes. Je lui déboutonnais sa jupe et la baissais, découvrant son opulent postérieur. Les collants noirs brillants laissaient à peine voir sa ...