Valérie, ronde et docile. (2)
Datte: 26/02/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... culotte en « V » dessous. « Maintenant, cul nu, ce sera plus douloureux ! » « Non, pitié ! Pas ça ! » « Oh si, ma chérie ! Il n’est que 22h00 et j’ai le droit de faire ce qui me plait jusqu’à minuit ! » « Je vais déchirer ton collant, mais juste à mi cuisse, comme cela, ça ne se verra pas quand tu remettras ta jupe. » « Tu es fou ! » Hurla-t-elle. « Oui ! Et c’est pour ça que tu m’aimes ! » J’ai repris le fouet et Valérie me fit face. « L’intérêt du fouet, c’est que même de face, je peux attendre ton gros cul ! » Et je lançais la lanière qui s’enroulait autour de ses fesses avant de réapparaître de l’autre côté et de fouetter son bas ventre. Elle hurla à chaque coup. « Tournes toi et j’épargnerai ton petit ventre ! » Alors, elle me montra son opulent postérieur et j’entrepris de déchirer son collant noir, en cinglant ses grosses fesses. A chaque déchirure, une partie de peau rose apparaissait dessous. Bientôt, son collant fut en lambeau, découvrant son cul mais aussi ses cuisses. De longues lignes rouges tranchaient avec la pâleur de sa peau du bas du dos et jusqu’en haut de ses cuisses graçouillettes. Je finissais de déchirer le collant pour exposer son gros cul et je baissais sa culotte. « Allez, courage, on va passer à la ceinture ! » « NOOOONNN ! »Hurla-t-elle. « Mais si ! Tu sais bien que j’adore ça ! » Je pris une ceinture de cuir clair, large et souple et je me mis à lui cingler sa peau nue. Le contact du cuir faisait un bruit sec qui résonnait dans la pièce, tandis ...
... qu’elle hurlait à plein poumon. Je m’acharnais sur ces grosses fesses offertes, regardant la jeune femme se tortiller et danser au bout de sa corde. Je bandais come un fou ! Quand le cul fut bien uniformément rouge, j’arrêtais la punition. Je la libérais de ses liens, la prenais dans mes bras et, la soutenant, je l’emmenais vers le chevalet. Elle s’effondra dessus, le ventre contre le cuir froid, les bras et les jambes de part et d’autre. Je lui attachais les chevilles au pied le plus haut et les mains à l’autre. Ainsi, son cul rouge vif formait une grosse boule, tandis que son corps penché, laissait ses gros seins s’étaler devant son cou. Je me plaçais derrière et je ne résistais pas à l’envie de lui donner quelques claques, qui lui arrachèrent des cris d’agonie ! Le sperme perlait déjà au bout de mon gland et je le posais sur la vulve offerte de la jeune femme. Sans effort, je la pénétrais et limais pour mon grand plaisir, les mains autour de ses hanches, m’écrasant contre son gros cul chaud et meurtri, ce qui lui arrachait des cris tant de plaisir que de douleur. « Tu jouiras de douleur aujourd’hui ! Mais tu jouiras quand même !» Je finis par cracher mon foutre dans son ventre, en hurlant : « Ohhh ! Merci, Steve ! Merci pour ta grosse salope de copine ! Si tu la voyais, le cul en feu ! Ahhh, je la rempli de sperme, ta grosse pute ! Ahhhh c’est trop bon ! » Je suis resté planté dans sa chatte, jusqu’à ce que je débande, l’écoutant pleurnicher et sangloter. Je commençais à ...