Ma rencontre avec Clotilde
Datte: 11/07/2017,
Catégories:
vacances,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... citant pêle-mêle des auteurs dont j’avais entendu le nom et en inventant d’autres. J’aurais aimé discuter avec elle plus longtemps mais, malheureusement, j’étais encore en service. Elle me laissa son numéro ainsi que son prénom sur un petit mouchoir. Elle s’appelait Clotilde. J’attendis trois jours avant de l’appeler, profitant de ce laps de temps pour me renseigner plus amplement sur la littérature érotique. Estimant être prêt, je l’ai appelée le mardi soir. J’appréhendais tellement ce moment que mes mains tremblaient quand je composai son numéro. Je faillis d’ailleurs lâcher le téléphone quand j’entendis sa voix. En prenant une intonation suave, elle me dit : — Vous êtes Franck, le garçon duQuick ?— Oui, lui dis-je, j’aimerais savoir si vous êtes libre pour déjeuner demain après-midi.— Désolée, je serai au travail. Si vous voulez, vous pouvez passer chez moi demain soir. J’habite rue Gabriel Péri, dans l’immeuble en face de la poste. Après quelques phrases de politesse, je raccrochai, troublé. Pour moi, si elle voulait me voir le soir, cela signifiait qu’elle voulait du sexe. Cependant, Clotilde était, selon ma première impression, trop douce pour coucher avec quelqu’un qu’elle connaissait à peine. Le lendemain, je me présentai à son appartement. Malgré quelques réticences, j’avais finalement décidé de prendre quelques préservatifs. C’est elle qui m’ouvrit la porte. Dès que je la vis, je ne pus refréner une érection. Elle était vraiment magnifique. Elle avait toujours ...
... cette robe à pois, mais ses cheveux étaient détachés, ce qui lui donnait un visage plus harmonieux. Bien que m’étant rasé la barbe et après avoir pris plusieurs douches, je me sentais tout de même mal à l’aise de vouloir séduire une femme comme elle. Clotilde me fit entrer et je pus constater que son appartement était comme je l’imaginais : plein de livres. Une fois dans l’appartement, elle me fit asseoir sur un fauteuil en cuir. Elle se posta devant moi et laissa glisser sa robe le long de son corps. Elle était entièrement nue. Je restai hébété devant elle, ne pouvant détourner mes yeux de ses seins fermes et ronds. — Déshabille-toi ! me dit-elle sur un ton autoritaire. Je ne me fis pas prier et, en quelques secondes, j’avais retiré tous mes vêtements. — Ton sexe est en érection, c’est très bien. Contrairement à mes attentes, elle ne me fit pas de fellation. Elle prit un livre dans l’une de ses étagères. C’étaitLes mémoires de Fanny Hill, de John Cleland. Elle s’assit à côté de moi et commença à lire la première page. Une fois qu’elle eut fini de la lire, elle me tendit le livre et me dit : — À toi ; lis la deuxième page. La proximité de son corps avec le mien et la sensualité qui se dégageait du récit me mit dans un état d’excitation indescriptible. Chacun notre tour, nous lisions une page, et plus nous avancions dans l’histoire, plus nos corps devenaient lascifs. Cependant, il n’y avait aucun désir sexuel entre nous. Après quatre heures de lecture, nous finîmes l’ouvrage. Nos ...