La boutique
Datte: 01/03/2018,
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... du camion. Ils avaient déposé les quatre parties au milieu de la pièce et la patronne, si fière et distante habituellement, les avait dirigés au plus prêt. — Oui Gérard, avait-elle martelé en s’approchant, posez-le plus à gauche. Elle avait alors collé son corps à celui de l’ouvrier aux bras chargés par le pan gauche, et l’avait repoussé, une main sur la fesse, l’autre sur les pectoraux de quelques centimètres. — Bien Michel, Un peu plus au fond. Là encore, elle avait profité de l’instant et déplacé "le gros", les mains sur les poignées d’amour. — Non Joseph ! – sa voix s’était faite plus sèche – Par ici ! Elle l’avait saisi par l’entrejambe, tiré vers elle par le membre, avant de le poser enroulée autour de lui, à quelques centimètres. Sa main avait traîné sur la braguette du jeune homme qui n’avait pas débandé depuis l’explosion commune dans l’appartement. — Enfin Bertrand, par ici ! La main aux fesses, elle l’avait lui aussi décalé un peu. Tandis que les trois ouvriers retournaient au déchargement de l’utilitaire, elle lui avait ordonné à l’oreille : — Touche comme je suis chaude ! Elle avait pris sa main et l’avait déposée sur son string. Effectivement il était déjà trempé. Bertrand aida ses compagnons à vider le camion mais Françoise le vampait derrière sa vitrine, sur son bureau. Assise, les jambes croisées le plus haut possible, elle s’était remaquillée en lui laissant deviner cette tâche rouge sur le haut de ses cuisses : la jarretière de ses bas. Elle avait ...
... déboutonné sa veste, avant de la jeter négligemment sur le fauteuil devant elle en se penchant pour dévoiler encore, dans son décolleté, un échantillon de lingerie rouge et noire. Elle avait croisé et décroisé encore ses jambes, dévoilant chaque fois une dentelle écarlate. Elle était allée jusqu’à poser chacun de ses pieds sur l’accoudoir des fauteuils qui attendaient les visiteurs, tandis qu’elle téléphonait. Chacun avait pu contempler la délicatesse des broderies de son string. Bertrand avait craqué quelques secondes plus tard quand il avait remarqué que, bien qu’il ne l’eût pas vu changer de position, plus aucun rempart sombre ne gênait le regard vers la ligne blonde qui barrait le pubis de sa concubine. Elle avait croisé son regard et glissé un doigt dans sa fente pour le faire venir. Peu après, Valérie entrait. Et c’est elle qui maintenant s’exhibait. À ses pieds, les deux déménageurs avaient cessé de visser et sorti leurs outils. Elle posa les mains sur ses cuisses. — Alors les gars, on a bien avancé ?— Oui Mademoiselle.— C’est bientôt la fin de la journée ? Ses mains remontèrent la jupe de quelques centimètre. Ils voyaient désormais les jarretières brunes de ses bas auto-fixants. — Oui Mademoiselle.— Ça ne nous empêche pas de faire une pause ? La jupe remonta encore. Sur le coton du boxer, ils purent voir la petite tache qui trahissait l’excitation de Valérie. — Non Madame.— Et vous avez une idée de ce que nous pourrions faire ? Elle remonta sa jupe comme une ceinture et glissa ...