La boutique
Datte: 01/03/2018,
Catégories:
fh,
ff,
hh,
fhhh,
frousses,
Collègues / Travail
gros(ses),
magasin,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
sm,
fouetfesse,
fantastiqu,
fantastiq,
fsoumisaf,
... demi-puissance et grimpa à son tour sur le lit. Elle passa un genou de chaque côté de la tête de Valérie qui gardait les yeux clos, concentrée dans l’appréhension d’un nouveau châtiment. Valérie sentait la présence de Françoise autour de son visage. La chaleur, l’odeur de Françoise l’entouraient. Elle tendit le menton et les lèvres pour chercher un contact qu’elle ne trouva pas. Elle prit une profonde et lente inspiration. Elle détaillait les odeurs, le parfum capiteux de sa patronne, une fine fragrance de cyprine –"Vous mouillez pour moi Madame ? " –, le soupçon d’un fumet masculin, trace de la performance de Bertrand, sans nul doute. Quelque chose se posa sur son genou droit. Elle frémit. La cravache glissa le long du mollet. La source de chaleur s’approcha de son nez et de ses lèvres. Le cuir stationna sur l’aine. Son souffle revint chargé d’effluves fauves. La languette tourna autour de son bouton, les lèvres de Françoise glissèrent autour de son nez pour s’appliquer sur sa bouche ouverte alors que, du bout la cravache, Françoise extirpait son clitoris. Valérie connut un premier orgasme à ce simple contact. Elle copia ensuite avec la langue les mouvements que sa cavalière dessinait dans son entrejambe. Françoise nota vite cette correspondance. — C’est bien, continue ! Elle appuya plus fort et de même fit la langue de Valérie. Elle marqua quelques va-et-vient légers, de gauche à droite, avant une ...
... lente glissade vers l’arrière. Valérie copia. C’était pour Françoise comme une masturbation, à l’exception de la contemplation de ce corps merveilleux, du "V" roux qui surplombait le pubis, des seins qu’elle dénuda pour voir les aréoles larges et roses. Françoise délaissa la cravache. Valérie ne cessa pas ses caresses. Au contraire. Privée de la contrainte de suivre les mouvements décidés par Françoise, elle se déchaîna, tirant un long feulement de sa patronne. Celle-ci vint agripper les tétons de Valérie qu’elle tira violemment, la faisant répondre par un cri. Les deux femmes combattirent ainsi quelques minutes. Valérie ne savait plus où mettre les mains. Agripper les cuisses de Françoise pour assurer la précision de sa langue ou plonger les doigts en elle pour faire exploser les vagues de plaisir que générait la délicate torture ? Françoise mit fin à son dilemme quand elle cessa de rouler les mamelons pour récompenser sa valeureuse esclave d’un cunnilinctus réciproque. Elles glissèrent de côté et jouirent les doigts de l’une dans l’autre. — T’es là ? La voix de Bertrand, portée par un courant d’air froid quand il ouvrit la porte, agit comme un détonateur sur Valérie. Elle retrouva instantanément ses esprits, récupéra ses vêtements et s’enfuit de la boutique aussi rapidement que possible. Son propre comportement la troublait. Elle rentra hébétée dans son immeuble, un petit quart d’heure plus tard.