Véronique
Datte: 11/07/2017,
Catégories:
f,
fh,
grossexe,
fsoumise,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
rasage,
Oral
fdanus,
fsodo,
sm,
historique,
fantastiqu,
... n’était en fait pas tellement étonnant. Il avait eu une journée de travail sacrément chargée et il avait déjà joui quatre fois. Véronique soupira en se remettant à sa place tandis que le noble fermait les yeux. Il devait vraiment être éreinté car il s’endormit dans le bain. Véronique, quant à elle, était sortie assez vite et avait remis la robe et s’était couchée. Elle l’entendit se lever et se coucher une petite heure plus tard. Elle savait que c’était inutile de tenter quoi que ce soit et ceci fut confirmé lorsqu’elle l’entendit ronfler doucement à peine dix secondes après qu’il ait disparu derrière les rideaux. Elle avait donc gagné quatre pièces d’or. Ça serait ses gains finaux. Une bien triste victoire. Quatre petites pièces d’or pour quatre journées complètes passées à le satisfaire. Véronique, elle-même très fatiguée, dormit remarquablement bien malgré la déception. Elle était tellement éreintée qu’elle n’entendit pas le serviteur ouvrir les rideaux, pas plus que le seigneur prendre son petit-déjeuner et s’en aller. Ainsi, lorsqu’elle s’éveilla, elle était seule dans la chambre. Elle sortit et l’officiel dans l’antichambre s’adressa immédiatement à elle. — Ah ! Mademoiselle. Monseigneur m’a demandé de vous remettre ceci. Pliés et propres, posés sur une chaise, se trouvaient ses effets, ceux avec lesquels elle était venue. Sur cette ...
... pile était posée une bourse de cuir. Elle s’en approcha tandis que l’officiel ajoutait : — Il m’a aussi dit de vous dire que vous pouvez garder la robe.— Ah, dit-elle en ouvrant la bourse, qui dévoila les quatre pièces d’or dues. Elle les regarda. Voilà, c’était sa récompense. Quatre jours d’efforts pour ça. Elle soupira. Et maintenant ? Elle allait devoir revivre sa vie de mercenaire, reprendre ses cambriolages, parcourir les routes. Elle sortit, raccompagnée par un garde. On ne lui offrit même pas la possibilité de revoir le seigneur. Avec l’argent, elle s’acheta un cheval mais elle ne parvint pas à la frontière avec l’Armanie. En effet, lorsque, trois mois après son départ du château, elle constata que son ventre ne saignait toujours pas, elle comprit. Elle s’arrêta dans un village accueillant, y séduisit un jeune, gentil et mignon paysan et obtint sa main. Il ne sut jamais qui était le père du petit garçon qu’il éleva et le seigneur ne connut jamais son existence. Véronique vécut simplement heureuse dans ce village qui l’avait accueillie, même si des rumeurs courraient un peu partout quant à l’identité du père du petit Charles. Je remercie chaleureusement Minou pour son aide précieuse dans la réécriture de ce texte ainsi qu’André pour m’avoir donné le temps de changer la fin et de manière générale, pour les corrections de mes textes.