1. Véronique


    Datte: 11/07/2017, Catégories: f, fh, grossexe, fsoumise, hdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation rasage, Oral fdanus, fsodo, sm, historique, fantastiqu,

    Véronique avait les yeux tournés vers la fenêtre, mais en fait, elle ne regardait pas dehors. Elle avait l’esprit ailleurs. Elle était heureuse de pouvoir se reposer. Parfois, sa vie d’aventurière lui pesait : pas d’attache, pas d’ami, devoir changer de lit tous les soirs et même parfois dormir dehors. Seulement, c’était la vie qu’elle s’était choisie et elle ne se voyait vraiment pas en changer. Une maison ? Un mari ? À quoi bon ! Cela avait-il réussi à sa mère ? Elle était morte en couche en mettant au monde son septième enfant, dont seul le troisième, elle, avait survécu à la petite enfance. Son père en était quasiment mort de chagrin et avait cessé de s’occuper de la ferme. À seulement treize ans, Véronique avait été obligée de tout prendre en charge pour ne pas mourir de faim. Elle avait appris non seulement à semer, planter, labourer, traire les vaches, faire la cuisine et la couture, mais également à marchander et à commercer. Trois ans plus tard, son père mourait après des années à vivre comme un mort-vivant, le visage triste et fermé, ne cessant de pleurer sur sa bien-aimée perdue. Lorsque son père partit rejoindre l’amour de sa vie, Véronique décida de vendre la ferme. Avec l’argent, elle s’acheta de quoi parcourir les rues et ainsi commença son errance. Elle gagna sa vie comme elle put. Des troupes de troubadours la prirent en leur sein. Ainsi, elle apprit la comédie, la danse et l’art de la jonglerie. C’est là qu’elle avait vu la première fois des hommes nus. ...
    ... Les hommes de la troupe étaient en effet peu pudiques et ils ne se cachaient pas lors de leurs ablutions dans les rivières et ruisseaux. Véronique, plutôt pudique à ce moment-là, commença à apprécier la vue puis décida, après quelque temps et quelques séductions de ces messieurs, de jouer à son tour dans la cour des grands. Au départ un peu malhabile, elle apprit vite et apprécia rapidement le jeu de la séduction mais, ayant toujours peur d’une grossesse toujours dangereuse, refusait toujours l’acte ultime à ses partenaires. Elle ne les laissa cependant pas seuls avec leur excitation. En effet, un jeune homme plus intrépide – et peut-être plus excité - que les autres lui fit réaliser sa première fellation et Véronique en fit de nombreuses autres par la suite. Jamais un homme ne la toucha. Le plaisir, elle le donnait, mais personne ne lui en avait jamais donné et Véronique n’imaginait d’ailleurs pas qu’il put en être autrement. Une femme pouvait avoir du plaisir, elle le savait puisqu’elle s’en donnait elle-même, mais jamais aucun homme ne le lui proposa et jamais elle ne fit le premier pas. Elle aimait cependant prendre en bouche les membres turgescents de ces mâles en chaleur, jouer avec eux, contrôler leur plaisir et si l’un d’eux osait sortir une pièce après la gâterie, Véronique la lui jetait au visage en partant. Elle le faisait pour le plaisir et certainement pas pour l’argent. Elle n’était pas de ses filles-là ! Soudain, elle se rendit compte que dehors, sous ses yeux ...
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