Le voyage vers les terres de l'amour... - Histoires de Sexe

Le voyage vers les terres de l'amour...

... qui debout face à moi sur ce même canapé, vient déposer ta chatte sur ma bouche. Je te bouffe la touffe, te lèche, joue sur ton clitoris. C’est un trio de plaisirs qui ferait rougir n’importe quel groupe musical. Une équipe de bouche, c’est le cas de le dire. Quand tu jouis, en peu de temps deux femmes ont succombé à ma langue. Cela me flatte et j’éjacule dans la bouche de la deuxième femme de la journée. Ta voisine avale tout comme affamée de ma jouissance pendant que toi, tu quittes ta position et viens à côté de moi te reposer de l’acte physique qui t’a fait exploser la chatte. Nous pouvons enfin, reprenant nos esprits, goûter au café et aux biscuits. Tu avais tout prévu, le café est encore chaud car servi dans un thermo. Nous sommes seuls, tous les deux. Ta voisine – ou ta copine – est partie après avoir bu un café. Elle m’a gentiment remercié du bon moment passé en notre compagnie et des plaisirs pris ensemble. Tu lui as souri, le regard toujours aussi complice et lui as dit que ta porte lui était toujours ouverte. Nous avons ri et elle est partie aussi gracieuse qu’elle était venue. Je t’ai demandé si vous aviez des rapports plus intimes toutes deux et tu m’as dit « chut ». Je ne pus en savoir davantage et ne m’étonnai pas que tu puisses me partager avec une autre. Je pris plutôt cette dernière expérience comme une offrande de ta part à ma virilité et à mes fantasmes. Je ne t’ai pas vue faire de geste équivoque avec elle, je ne sus donc pas s’il vous arrivait de ...

... coucher ensemble, de vous tripoter. Mais cela n’était pas important en ce moment et ayant retrouvé la santé après le café et les biscuits, je t’attirai dans mes bras pour te remercier et te glissai à l’oreille que je ne connaissais toujours pas ta chambre. Riant de ma folie, tu voulus tempérer mes ardeurs mais rien n’aurait pu y faire. Trop d’attente avec toi et après cette entrée en matière multiple, j’avais envie de baise, pas simplement de lécher, il me fallait pénétrer, enfoncer, labourer. Et pour cela une femme comme toi, libertine et coquine avec une bouche exquise et une chatte chaude allait me faire l’affaire. La chambre est par là, me dis-tu. Malgré tout un peu éreinté par les activités sexuelles avec toi et cette voisine, je vois le lit et m’y laisse tomber. En deux ou trois mouvements, je quitte pantalon et tee-shirt avant que ces vêtements ne soient totalement froissés. Je suis allongé sur le lit, en slip, sur le lit large, couvert seulement par des draps quand tu me rejoins. Tu as quitté ton déshabillé et te présentes avec une culotte bordeaux plutôt sexy. Tu n’as pas de soutien-gorge. Tes seins sont libres comme toi (je repense aux moments libertins passés). Tu as l’air d’une femme mûre que le sexe ne dérange pas et prête à se donner sans ménagement au désir de l’autre. Je te revois devant moi, ouvrant la bouche et me happant le braquemart. Je ferme les yeux un instant pour mieux savourer le souvenir de ta langue sur mon sexe, ce plaisir infini que tu m’as donné et ...