Le voyage vers les terres de l'amour... - Histoires de Sexe

Le voyage vers les terres de l'amour...

... aussi la sensation que j’avais en sentant mes doigts s’enfoncer dans ta chatte. L’acte sexuel entre réalité, fantasme, souvenir et espoir : tout cela m’emballe. Mon érection est immédiate, mon slip est tendu et quand tu te mets sur moi, me baisant les seins aux tétons durcis, je n’en peux plus d’envie. Ta main sur le slip me frotte le sexe, le branle par dessus le tissu. Je t’agrippe les fesses, sentant leur fermeté et les malaxant dans un mouvement lascif. Tu descends vers mon sexe et, pendant quelques instants, dégageant mon sexe de sa prison, tu te mets à le sucer toujours et encore. Après toutes ces fellations virtuelles qui m’ont plus d’une fois fait fermer les yeux et souiller mes draps, j’aime comme tu me suces, comme tu sais varier que ce soit avec la bouche ou avec la langue. J’aime quand tu me lèches les couilles et quand ta main me prend le membre et le branle, toujours à la limite de l’éjaculation. J’ai envie de lâcher mon sperme dans ta bouche et te voir l’avaler. Mais j’ai aussi envie de garder l’énergie pour te pénétrer, te prendre, t’enfoncer. Avec ton expérience, tu sais quand il faut changer de position ou de pratique. Maintenant tu ne me suces plus, tu t’es redressée et mise sur moi pendant que je te caresse les seins en les prenant parfois en bouche, les suçant, les aspirant et les léchant avec ma langue folle de ta peau. D’une main habile, tu diriges mon sexe dans ton con. Tu m’enfourches. La pénétration est rapide et facile car je suis très dur et toi ...

... très humide. Tu vas et viens sur moi dans un rythme qui s’accélère en même temps que la tension sexuelle grandit. En quelques coups de queue tu décharges et quand je serre tes fesses plus fort pour aller au fond de toi, tu cries et encore plus quand je me lâche en toi, t’inondant de foutre et de plaisir. L’orgasme a été fort pour tous les deux. Tu t’affales sur moi, corps à corps, les deux amants endormis après la bataille. Il est temps de se reposer. Je ne suis que depuis quelques heures dans ta ville et j’ai déjà vécu mille plaisirs. Après quelque temps de repos où le sommeil fut réparateur, nous nous sommes levés et après une douche salvatrice (prise séparément pour éviter toute autre débauche), nous avons préparé un semblant de repas avec pâtes, quelques fromages et fruits. Pendant ce repas nous avons discuté de choses et d’autres. En fin d’après midi, tu m’as proposé de me faire visiter ta ville. J’étais là jusqu’au lendemain et était disponible pour le tourisme comme pour la débauche. Cet intermède allait me faire du bien, de l’oxygène pour le corps et l’esprit. On ne peut pas vivre que d’orgasme, non ? Au moment de partir, sur le palier, nous rencontrons ta voisine qui nous souhaite une bonne fin d’après-midi en nous souriant jovialement. Elle est complice avec toi, c’est sûr mais jusqu’où ? La voisine n’est plus en peignoir à présent mais dans une tenue noire (pantalon et chemisier) moulant ses formes généreuses avec goût. Elle nous déclare que pour nous remercier, elle ...