Le voyage vers les terres de l'amour... - Histoires de Sexe

Le voyage vers les terres de l'amour...

... nous invite à passer chez elle ce soir, après notre promenade où un repas à partager nous attendra. Nous ne pouvons qu’accepter cette invitation chaleureuse, d’autant plus que je suis sensible aux charmes de ta voisine L’après-midi, je ne le raconterai pas ou si peu. Tu me fais visiter ta ville, un peu en voiture, un peu à pied. J’ai la tête bien ailleurs quand tu me parles d’architecture et de quelques personnages historiques qui ont pu donner des noms à quelque lieu, quelque rue. Être accueilli dans une ville avec autant d’amour, cela vous transforme un homme. J’ai bien peur de ne voir cette ville que sous le regard du libertinage et de la débauche. Chaque fois que je croise une femme, je la crois mienne. Chaque fois que je te regarde, je pense à ton sexe, à ta bouche et je te revois te déhancher sur moi. Pour un peu, dans un jardin, sur un banc où nous nous sommes reposés un peu après t’avoir embrassé sur la nuque et senti mon sexe devenir dur dans le pantalon à me gêner, pour un peu je t’aurais dégrafé le chemisier et aurais peloté tes nichons à l’air libre. Mais je me suis contenté d’un baiser sur ta bouche bien appuyé, ma langue se mêlant à la tienne. À moins de finir en prison, il n’y avait pas d’autre moyen. Regarder tes cuisses, te voir les écarter sur le banc et me provoquer des yeux en les baissant justement sur la bosse inscrite sur mon pantalon, tout cela me met dans un état incroyable et tout à coup il me tarde de renter chez toi. Nous rentrons donc, et dire ...

... que nous devrons aller chez ta voisine. Dans la voiture du retour je n’arrête pas de bander. Tu t’en amuses et tout en conduisant, à allure lente il est vrai, tu me dégrafes la braguette m’en tires la bite et la branles doucement. Heureusement que nous arrivons devant chez toi car la sève est bien montée. Nous montons l’escalier et sur le palier, je vois que ta voisine a fermé sa porte. Elle a dû aller faire les course me dis-je. Une fois entrés, tu n’as pas le temps de déposer ton sac à main que je te saute dessus. Tu ne m’as pas vu venir, je suis derrière toi. Je t’enlace et te tripote les nichons en me frottant sur toi. Tu sens mon membre contre ta robe. Maintenant tu es penchée, prenant appui sur la table à manger, je soulève ta robe, baisse ta culotte et mon pantalon au niveau des genoux. Je prends ma bite bien dure et arrive à l’enfoncer dans ton con que je trouve de suite humide. C’est pour cela que tu n’as pas résisté. Dans un grand miroir de trois-quarts par rapport à nous, je nous vois tous les deux en train de baiser. C’est assez sauvage, tu te mordilles la langue pendant que je te laboure la chatte. Je vais au fond et ton cul resplendissant subit mes assauts. Je t’ai enfoncé un doigt dans le cul et tu sembles tellement apprécier que j’ai une autre idée pour ton trou de balle. Je me crache dans la main, en badigeonne ma bite excitée et te l’enfonce dans le cul. C’est un peu douloureux au départ mais cela passe bien et entre douleur et plaisir je navigue en toi. Tu ...