Un inconnue découvre un paria dans sa famille (4)
Datte: 12/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... vicieuse, je t’aime ma chérie. » Cette fois, si elle doutait de mon amour, mes yeux ne lui ont pas menti, je l’ai dit avec la sincérité de mon cœur comme celle de mon âme dévolue au vice. Je suis allé prendre nos photos, l’appareil quand j’ai entendu braire mon frangin de douleur. Je riais sous cape en l’entendant. Je criais encore à Sidonie de bien le dilater, de bien le remplir. Sa réponse me fait un plaisir immense, elle hurle de plaisir. En la voyant devant son père, le sexe devant son nez, se branlant la motte et prendre son pied, je fais la plus belle photo qui soit. Je profite de la vue et de l’occasion pour lécher sa fille devant ses yeux de merlan frit. Ce loquedu pleure comme une fillette et sa fille rit aux larmes de le voir chialer comme ça. Dans son cul, électrochocs se succèdent aux vibrations, au gonflement du ballon qui remplit son cul de ce maroufle de pacotille. Oh bon sang, je fais dans le Audiard. En regardant sous ma table en verre, je vois que ce con bande. Miam, je vais me délecter de la suite. Je fouille dans mon matos de pervers, sors ma baguette électrique, la branche. Près de ce qui fut mon frère, je soulève son corps, pose ma baguette sur sa bite de cave et appuie sur le petit bouton rouge, puissance maxi. Putain ce qu’il peut braire ce con. Bon ok, la décharge est assez violente pour assommer un bœuf, mais de là à crier comme…il a jouit ce con. « Alors, on aime se faire triturer sa vieille baderne et on prend son pied ? » « Délivre-moi que je ...
... vous montre comme je fais ! » « Compte là-dessus et cause toujours. On a tellement à se dire nous trois. Oups, nous quatre, oui, Isabelle est sur le chemin du retour. » « AH merde pas elle, encore ! » « Mais si, mais si. Demain si tout va bien. Tu sais quoi, j’ai une putain d’envie de t’enculer. T’en pense quoi ma chérie, tu crois qu’il me mérite ? » « Plutôt crever, non, il mérite mieux que votre belle biroute, mon Maître, les aiguilles et la cire brulante. » « Décidément, tu me plais, ma chérie ! » Alors, voyons, bougie, j’ai, aiguille, j’ai et déjà dans l’alcool, top, on va pouvoir jouir de lui, enfin entre Sidonie et moi. Je laisse les aiguilles à Sidonie. Ben quoi, il faut bien qu’elle apprenne le métier de salope de dominatrice. Enfin, pas avec moi, mais les vendredis pour punir nos soubrettes, les payantes. Hé, c’est qu’elle se débrouille bien ma petite chérie. Là, lentement, c’est bien, tourne un peu, comme si tu cherchais un veine, là, parfait. « Ça fait mal, pas mon vieux empétardé ? » Oui qu’il souffre et pas qu’un peu. Bon, une, deux, trois…la vingtaine d’aiguilles qui garnissent ses petites fesses de demi-sel forment une jolie fleur. Elle est mignonne ma petite. Passons à la cire, putain, j’ai toujours envie de l’enculer. Ce serait mon premier mec que je baiserai et vu que c’est encore mon frère. Et puis, il y a les aiguilles. Une capote, on ne sait jamais avec un olibrius comme lui. Je retire mon bijou de gode et plante ma bite dans son cul. Seulement voilà, chaque ...