Un inconnue découvre un paria dans sa famille (4)
Datte: 12/07/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... sorte, mais j’étais là. Donc, il nous a suivis et ne nous voyant pas sortir, il a fini par rentrer pour l’attendre. Mais là, il n’a rien fait. Il a dû penser que nous n’avions pas parlé de la famille. Putain, comment aurais-je pu être au courant, seule Isabelle savait. Quand elle est restée le weekend chez moi, la première fois, il l’a à nouveau suivie. Et c’est au moment où je demandais à Sidonie de tout larguer pour vivre avec moi qu’il lui a sauté dessus, CQFD, enfin je crois. « Sidonie, je vais devoir te faire mal encore une fois. Je t’explique. La maison a brulé, c’est lui qui a bidouillé un truc pour ça. Ensuite, il reste la vieille grange, elle est à une dizaine de kil de la maison. On y entreposait le grain et le foin, hein Isabelle, le foin. Ok, bon, donc, on va aller là-bas, je vais…putain ce que ça me gonfle de devoir le faire… « Moi pas si cet enfoiré va en tôle, tu pige ? Je n’ai pas peur d’avoir mal si il disparait de notre vie, c’est pourtant clair ! » « Ok, bon, on le, mince, sa confession, faut la mettre comme s’il venait d’avoir des remords sur ce qu’il avait fait. Bon, je mis colle. Vous, préparez de quoi te…enfin, tu vois quoi ! » Sur mon ordi, je tape la confession que je modifie selon mon plan. Je prends la feuille avec un gant de chirurgien, j’ai assez. Reste qu’il doit signer, que je le mette hors service pendant trois bonnes heures. Faut qu’on l’emmène là-bas, que je fouette ma nièce, mon petit cœur. Qu’on termine la mise en scène et qu’Isabelle ...
... et moi jouons à la tante et l’oncle inquiet de la disparition de Sidonie. Ok, jusque-là, c’est bon. Mon frère signe sans relire, OUF ! Une petite décharge là où ça fait mal, le voilà dans les pommes. Habillé, on le charge dans mon coffre et on roule. Sur place, Isabelle attache sa nièce. Je l’avoue, je n’ai pas le courage, c’est Isabelle, à contre cœur qui martyrise notre petite nièce, elle se montre très brave malgré la rudesse des coups de fouet. Nue, suspendue, elle perd vite connaissance. Le père indigne ne va pas refaire surface avant une bonne heure, le temps pour nous de rentrer. Du coffre, je sors le papier de Sidonie, les mets avec le coffret des lettres dans son petit sac de voyage. Là, je crois n’avoir rien oublié. Maintenant, c’est le coup de fil aux flics. Isabelle joue merveilleusement la tante paniquée. De mon côté, un peu éloigné, je joue aussi à l’oncle inquiet, presque paniqué. La police joue vite son rôle, demande où éventuellement trouver notre nièce. Ça s’est fait, on file en direction de la grange, au passage, on laisse les poulets nous dépasser. On arrive sur place, trois voitures, une ambulance. Un homme, un flic en civil nous interdit de passer. Sidonie nous appelle, crie, hurle. Il nous laisse passer. Tout roule, l’oncle est menotté dans un des fourgons, il ne peut pas nous voir. Sidonie est emmenée à l’hôpital, on la suit. Trois mois plus tard, Sidonie est chez nous, nous avons signé nos dépositions. Le père indigne s’enfonce jour après jour en se ...