1. LE MARIN. La parisienne en vacances. (14/14)


    Datte: 07/03/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... moment où tous les dimanches la totalité de la commune venait à la messe le dimanche. Aujourd’hui depuis l’année dernière en mai 68, tous ont changé et la plupart des habitants préfèrent les grasses matinées crapuleuses qu’à aller faire des bondieuseries. Au moment de repasser devant la boutique, j’arrête la voiture rêvant que mon fils habitait derrière les murs de cette petite maison construite comme toutes les autres dans la région en granite avec des toits d’ardoises. Je remets le contact lorsque la porte sur le côté de la boutique s’ouvre et une jolie jeune fille en sort en poussant un landau. Cela aurait pu être ma petite grosse avec mon fils, mais cette beauté pouvait difficilement être la jeune fille que j’avais conduite derrière l’église pour la dépuceler. Lorsque je repense à la culotte de la nénette, on aurait pu en mettre deux comme cette jeune femme à l’intérieur. De plus je l’ai baisé, il y a un an et mon fils doit marcher à cette heure. D’un coup ma bévue me saute aux yeux, je l’ai sautée, il y a un an et elle a porté l’enfant neuf mois. J’ai étudié jusqu’au brevet avant de m’engager et je sais que 12 moins 9 cela fait trois mois d’où la possibilité qu’il est trois mois. C’est au moment où elle passe non loin de moi que je comprends que c’est bien la jeune fille du cafetier à Languidic, car sous son œil, elle a un grain de beauté aussi gros que celui que je lui ai vu l’an passé. Avant que je réagisse, elle passe sans me regarder. Je la suis du regard dans le ...
    ... rétroviseur et je la vois tourner à droite. Il faut que j’en aie le cœur net aussi, je la suis et au bout de 200 mètres, je la vois prendre un chemin le long d’un ruisseau. Quel idiot d’insister, le joli petit cul qui se tortille devant moi est impossible à appartenir à ma pucelle. Arrivé vers une petite étendue d’eau, je la vois prendre sous la nacelle du landau une couverture qu’elle étale au sol. Elle est de dos par rapport à moi et je profite d’un bosquet pour me cacher, évitant d’avancer. Le plus drôle dans tout cela c’est que j’ignore si l’an passé, nous avons changé nos noms. Comment l’interpeller sans lui faire peur surtout au fond de ce chemin où aucune personne passe ? Elle prend le bébé dans ses bras et je l’entends dire. • Victor, tu es dégoûtant, je viens de te changer avant de partir et tu as déjà rempli ta couche. Que m’arrive-t-il, la jeune femme sortant de la boulangerie, le grain de beauté sur la joue, et le prénom Victor, tout concorde même les seins encore plus développés que j’aperçois après qu’elle est changée le petit et qu’elle se prépare pour lui donner la tétée. Je fini par approché ce qui lui fait peur. • Mais vous êtes. Je vois qu’elle cherche un nom qu’elle ignore. • Oui, Christian le jeune marin qui l’an passé t'a fait l’amour pour la première fois. C’est mon fils. • Tu es fou, je suis marié avec le boulanger près de l’église et c’est le père de mon enfant. • Pourquoi l’as-tu appelé Victor s’il est de lui. • Car c’est le prénom du grand-père de mon ...