1. LE MARIN. La parisienne en vacances. (14/14)


    Datte: 07/03/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... seins toujours à l’air me faisant bander va au bord de l’eau pour nettoyer la coulée de lait. La berge est plus haute que l’eau et légèrement glissante, car à cet endroit il semble qu’un pécheur ait piétiné et l’a fait remonter. Je la vois piquer une tête sans inquiétude, car il y a juste vingt centimètres d’eau. Dans le mouvement, je saute à l’eau pour la récupéré. Nous sommes trempés tous les deux et dans les bras l’un dans l’autre. Lorsque notre regard se croise, il est trop tard, nos bouches se trouvent pour la première fois, car au bal seul nos parties intimes m’importaient. Nous sortons de l’eau, nos vêtements trempés volent et c’est nu que nous chutons sur la couverture. • Christian fait nous notre fille, Loïc sera aux anges, nous l’appellerons Christine. C’est comme cela que je pénètre le sexe d’Aurélie. Je la pénètre, car même si nous sommes trempés, elle mouille comme le fait une femme amoureuse. Nous roulons sur la couverture et elle me fait voir qu’elle a bien évolué dans la connaissance du sexe, car autant derrière l’église, elle a subi mon attaque même dans sa rosette alors que là au pied du landau de mon fils, c’est elle qui mène le bal sans André Verchuren pour marquer le tempo. Je dois serrer les fesses pour éviter de jouir trop vite et risquer de la décevoir. Lorsqu’elle démarre sa jouissance, je lâche les chiens et je la remplis de mon sperme. Nous sommes en osmose et nous sommes sur d’un simple regard que je viens de mettre ma fille en gestation. ...
    ... Au-dessus de moi Victor semble apprécié qu’une petite sœur vienne égayer sa vie. • Ha re, ha re. Nous passons l’après-midi pour une seule fois en famille et pour assurer la naissance future, nous recommençons une nouvelle fois à remplir le vagin d’Aurélie. Il est l’heure de nous quitter, car elle tient à être chez elle pour la prochaine tétée de Victor. C’est auprès de la Mercédès que je les quitte après une petite tape sur la joue de mon fils. Je les vois me regarder dans mon rétroviseur et dès que la route tourne un moment, j’ai envie de faire demi-tour surtout lorsque je sens sur mon épaule l’odeur du lait rejeté par mon fils qui suite à la chute dans l’eau de sa maman a mal été enlevé. Je reste lucide car bientôt je reparts pour six mois en mer avec Didier et leur avenir est certainement plus douce dans ce petit village breton qui pourrait être celui où vivaient Astérix et Obélix. Épilogue : Nous revenons de notre tour du monde plein d’anecdotes à raconter. Robert et Véronique sont mariés depuis Nöel et si vous allez voir le retour des chalutiers, vous pourriez voir la seule femme pilotant l’un d’eux avec tous ces hommes d’équipage qui se garderaient bien de lui manquer de respect. Elle a vendu tous ses bien même la Mercédès et la barre qu’elle a dans ses mains est celle du dernier chalutier neuf de la flotte de Lorient. Dider attend avec impatience la fin de son engagement pour venir aider les filles à tenir leur restaurant. Quant à moi dimanche dernier après avoir été promu ...