La mauvaise pente (5)
Datte: 09/03/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... elle. J’étais emporté par mon excitation, et je jouissais intérieurement de la traiter comme un objet sexuel et de lui faire payer la façon dont elle s’était comportée avec ma famille puis avec moi, en ne payant pas sa dette, et en nous menant en bateau. Je me replaçai derrière elle. Un nouvel ordre tomba : " - Redresse ton cou de putain, que je le vois bien serré par le collier de cuir ! Et cambre-toi bien, creuse les reins, fais-moi ressortir ta croupe de salope enceinte !" Elle obéit aussitôt, ce qui me permit de prendre un nouveau cliché (on verrait bien ainsi le cou d’esclave, et le cul bien tendu, orné du plug coloré.) Puis je me penchai et brutalement, je lui descendis le haut de sa robe, tout en commentant mon geste : " - Je vais te foutre tes nichons à l’air, petite catin ! Regarde-les maintenant, regarde de quoi ils ont l’air, pendouillant lamentablement ! On dirait une grosse vache prête à être branchée à la trayeuse !" Ses seins que je découvrais pour la première fois étaient d’un beau volume, gonflés par son état de grossesse, et les aréoles étaient larges et brunes, comme de petites médailles. Je vis avec satisfaction que les tétons coulaient, et gouttaient même un peu : elle était donc sensible au traitement que je lui infligeais, et gagnée par l’excitation, elle ne pouvait dissimuler ses réactions physiologiques. Ainsi donc, se cachaient en elle des fantasmes de soumise, et si elle n’avait encore jamais été soumise par un homme (le sien ou d’autres avant ...
... lui), cette petite séance révélait en elle ce désir trouble et inassouvi jusqu’alors. Elle allait bientôt me remercier, la petite chienne ! Je me plaçai à genoux derrière elle, enfilai rapidement un préservatif, et sans perdre de temps en fioritures je rentrai mon gland tout gonflé entre les lèvres de son sexe. Je la saisis par les hanches et d’un coup ferme je la tirai sur moi et l’empalai direct sur mon dard ! Elle poussa un "AAAH" de satisfaction. Je me sentis buter contre son utérus et, mes mains fermement agrippées à ses hanches, je me mis à la besogner avec force ; elle se mit immédiatement à gueuler comme une femelle en manque. Sa chatte dégoulinait de mouille, qui sortait à chaque coup de pine et m’aspergeait les cuisses. Je sentais le gode-plug dans son rectum, à travers la mince paroi séparant les deux conduits, et ça devait décupler son plaisir, en lui ébranlant tout son bas-ventre. " - Mmmmh," lui dis-je, "quelle bonne chienne ! On voit que votre grossesse ne vous ampute pas de votre libido. T’aimes ça, tefaire baiser, hein ?! — Oh ouiii ! — Tiens, prends ça dans ta chatte ! Je te bourre, salope ! — Oh oui, baise-moi, baise-moi comme ça, baise-moi fort, j’aime ça...! J’aiiiiime ! — On va voir si tu vas aimer le traitement que je vais t’infliger ensuite, petite chienne..." Là-dessus, je continuai à la fourrer à un rythme soutenu pendant une bonne minute, et avant qu’elle ait eu le temps de prendre son pied, je déconnai et la laissai en plan. Je pris dans mon sac une ...