L'INCONNU DU CINEMA (8)
Datte: 12/07/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... de la victoire. — Ho… mais c’est que ma pute commence à aimer ça — Haaaa…non…oui…mais…ça fait…mal…hum… — Oui, c’est bien…écarte bien ton cul, oui…laisse moi te la mettre au fond — oui…hum...mais elle…est…hum… trop grosse…j’ai…mal… — Mais non, regarde comme elle rentre bien, tu l’aime ma grosse queue, hein ? — Oui…hum…elle est…grosse… Ses mouvements devenaient plus longs et sa queue coulissait déjà sur plus de quinze centimètre en dilatant toutes mes chairs dans la gaine anale. Le mélange de douleur et de plaisir était tel que mon corps abandonnait toute force, je ne tenais plus sur mes jambes, je tremblais et frémissais de toute part. Juste accrochée par les poignets je me laissais empaler de tout mon pois sur le l’énorme pieux vivant qui maintenant me labourait le cul. Sous la douleur mes larmes étalaient mon maquillage sur mes joues, alors que ma respiration saccadée et mes gémissements exprimaient mon état de femelle apeurée. La brute s’agrippait de plus en plus brutalement à mon corps, lâchant mes seins pour me contraindre en appuyant sur mes épaules, permettant ainsi à sa queue de gagner encore quelques centimètres. — Putain, tu va la prendre…encore un effort ma belle Je sentais tous ses puissants muscles qui se contractaient à chaque coup de reins, sa respiration de mâle en rut me chauffait la nuque que sa langue baveuse parcourait toujours. — Han…han…han… tient ma pute… t’aime que je t’éclate le cul… Je serrais mes mains de toutes mes forces sur les chaînes qui me ...
... retenaient, me laissant divaguer au gré de ses coups de queue qui commençaient à me faire plus de bien que de mal. — Haaa…sale pute, ça y est…jusque aux couilles…prend ça Le salaud, il venait sur un dernier coup de reins un peu plus puissant que les autres de me l’enfiler sur toute sa longueur et je sentais ses couilles chaudes qui ballottaient contre mes fesses. Devant cette outrageante capitulation, toutes mes dernières barrières morales sont tombées et je me délectais d’être ainsi possédé comme la plus vulgaire des salopes. Mais le niveau d’adrénaline était trop puissant, provoqué par cette incroyable monté du plaisir, le niveau inhabituel de la douleur accepté et l’excitation permanente. J’ai senti le mâle s’exciter encore plus fort, me pilonnant à grands coups de bite pendant qu’il m’insultait, mais mon esprit défaillait et je ressentais la pièce tourné autour de nous. Je l’ai entendu hurler alors qu’il me remplissait le cul de son foutre chaud mais j’ai soudain eu un grand trou noir dans lequel je suis tombé, à bout de forces je me suis laisser partir sans pouvoir me retenir. — Emilie…Emilie…vous m’entendez ? J’entendais cette petite voix douce, qui se rapprochait doucement. — Emilie… comment allez vous ? Mes paupières s’ouvraient lentement, laissant apparaître la lumière tamisé sur les murs de la chambre. Ma nouvelle amie était près de moi, me caressant délicatement les cheveux et le visage. yjpyttxq J’étais encore toute nue, mais j’avais mal partout, surtout au niveau des ...