L'INCONNU DU CINEMA (8)
Datte: 12/07/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Je ne sais pas combien de temps j’ai pu dormir, mais j’avais toujours le voile sur les yeux. Bien reposée, je me suis étirée sur les draps de satin pour me dégourdir les membres, ce contact sur ma peau nue était des plus agréables et je savourais l’instant en me remémorant cette incroyable orgie dont j’avais été la victime consentante. Jamais je n’aurais pu imaginer vivre une telle débauche, me faire prendre par huit hommes à la suite, en retirer un réel plaisir et en jouir à chaque fois. Et puis ce gros pervers avec son sexe disproportionné, comment mon corps a-t-il pu accepter une telle dilatation, certes l’excitation était immense, mais tout de même. Ces pensées coquines ravivaient le désir en moi et je me surpris à parcourir langoureusement mon ventre et l’intérieur de mes cuisses avec mes mains. Plus je repensais à cette bite énorme et plus j’avais envie de l’avoir de nouveau en moi, de me sentir profondément et totalement remplie. Mes mains caressaient ma vulve et je commençais à rouler des hanches pendant que mes doigts s’enfilaient entre mes lèvres humides. Serait-je devenue une de ses salopes toujours insatiables, m’ont-ils transformé à ce point pour que je ne sois jamais satisfaite et que mon corps me réclame toujours plus de plaisir. — Et bien, il était temps que j’arrive. Surprise par cette irruption, j’ai néanmoins reconnue la voix de Marc, il était surement entré en douceur sans faire de bruit, mais avec lui j’étais maintenant très à l’aise et j’ai décidé de ...
... poursuivre l’exploration de mon intimité malgré sa présence. — Humm… Marc… qu’est ce que vous me faite… ce que je suis…devenue… Marc m’a attrapé les mains pour les bloquer fermement au-dessus de ma tête et il s’est approché en posant son autre main sur mon ventre. — Emilie, nous ne faisons que dévoiler votre vraie nature, cette quête du plaisir est en vous, il nous suffisait de la libérer. Sa main était chaude et sa caresse sur mon ventre tellement agréable. — Hum… Marc… faite moi jouir… je vous en prie. — Doucement, chaque chose en son temps. Il me demandait de patienter et pourtant il m’a aussitôt glissédeux doigts dans la fente jusqu’à venir me toucher le clito, geste qui m’a complètement électrisé. — Hum… vous le faite exprès… c’est de la…torture Au même moment j’ai ressenti une autre présence près de nous, la personne s’est approché et s’est assise sur le lit juste devant moi. Connaissant bien Marc et ses idées perverses, je m’émoustillais d’avance des nouveaux plaisirs qu’il allait me faire découvrir. Avec sa main, Marc me fit écarter les cuisses au maximum tout en caressant la chair délicate de mon entre jambes. J’adorais vraiment cette façon qu’il avait de m’offrir, respectant ce savant mélange de surprise, de crainte et de curiosité, sans savoir vraiment pourquoi j’avais une totale confiance en lui. Marc a posé son visage contre le mien et tout en me donnant de langoureux baisés il me chuchotait doucement : — Nous allons vousfaire jouir rapidement car le Maître nous ...