L'INCONNU DU CINEMA (8)
Datte: 12/07/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... parties intimes — Que m’est-il arrivé ? — Vous vous êtes évanouie, c’est une brute épaisse, sans morale — J’ai encore très mal, est ce qu’il m’a déchiré ? — Non, rassurez vous, mais c’était incroyable — Comment ça incroyable, vous l’avez vu ? — Heu…oui…nous étions tous là, j’avais peur pour vous — Comment ça tous là ? — Et bien, le Maître, Marc, les autres et puis nous les soumises D’un coup je comprenais mieux le pourquoi du bandeau sur les yeux. Comme la dernière fois elle me faisait ma toilette intime, mais avec beaucoup plus de douceur car mes chairs étaient encore rouge et toutes irritées. — Vous me dite si je vous fais mal — Non, ça va, c’est très supportable, mais puis je vous demander… — Si… moi aussi, j’y suis passé…c’est ça que vous voulez savoir ? — oui, mais je ne voulais pas vous… — Ce n’est rien, oui…nous y sommes toutes passés — Mais vous êtes si jeune, si mince…comment il a pu… — Le corps s’habitue à tout, vous verrez, la prochaine fois, vous ne vous évanouirez pas. Soudain Marc est entré dans la chambre: — Dit donc les filles on fait la causette ? — Marc je vous en prie, elle est exténuée et endolorie — Je sais, c’est pour ça qu’aujourd’hui c’est relâche Il s’est assit près de nous en souriant — Ma chère Emilie, vous allez vous habiller, ensuite vous appellerez votre mari pour le rassurer et enfin je ...
... vais m’occuper personnellement de vous toute la journée. — Marie va finir votre toilette et vous refaire une beauté En ressortant de la chambre il m’a regardé en disant : — Je suis très fier de vous, vous êtes une femme merveilleuse. Pleine de satisfaction, j’ai regardé mon amie dans les yeux pour lui dire — Donc, je peu t’appeler Marie ? — Oui, mais faisons vite, il ne faut pas le décevoir Après une bonne douche revigorante, un brin de toilette et de maquillage, j’ai enfin pu mettre une des petites robes que mon mari avait sélectionné pour moi. En me regardant dans la glace, je me sentais bien plus belle et désirable que toute nue, les robes embellissaient mes courbes et effaçaient les petites rondeurs de la quarantaine. Marie m’a tendu des sous vêtements: — Non merci, Marc m’aime toute nue sous mes robes et puis je m’y suis habitué, pas toi ? — Il faut que l’ont soit toujours prêtes, n’est ce pas ? Quelques minutes plus tard j’ai appelé mon époux, lui prétextant la fatigue du voyage et que je m’étais couché tôt pour le rassurer, tout en lui promettant de le rappeler plus longtemps dans la soirée. Marc ma rejoint et nous avons traversé la maison entièrement vide, sa voiture était déjà devant l’escalier, il m’a galamment ouvert la portière et puis nous nous sommes engouffrés dans la profonde allée en direction de la ville.