1. Sautée au refuge d'altitude (version hétéro) (1)


    Datte: 14/03/2018, Catégories: Hétéro

    Sautée au refuge d’altitude (version hétéro) Le déclin du soleil obombrait déjà les pentes abruptes de l’ubac et celles, plus douces, de l’adret où nous nous trouvions étaient, elles aussi, gagnées petit à petit par la fin du jour. Il nous fallait prendre un parti. Nous ne pouvions plus atteindre le village avant la fin du jour mais seulement à la lueur de nos lampes-torches qui, d’ailleurs, étaient excellentes. Un petit vent de foehn nous entourait par à coups de bulles de chaleur qui rendaient la canicule insupportable, même à cette altitude. Assurément le fond de la vallée devait être un four invivable. Le mieux était peut-être de passer la nuit au refuge, que l’on voyait en contrebas, se mirant dans son petit lac d’un bleu sans égal. Il y ferait sûrement plus frais pendant la nuit que sous notre toile de tente que nous ne retrouverions sans doute pas avant 22 H30 au camping de la petite bourgade. Il nous fallu encore un quart d’heure pour atteindre la petite maison de pierre. Seules les cimes étaient encore éclairées par le soleil et le ciel, qui avait été d’un bleu d’azur toute la journée commençait à se couvrir de gros moutons blancs. A notre grande surprise, le refuge était désert ce qui était exceptionnel pour la saison. Pas un randonneur ne s’y était attardé. La vaste pièce avec une grande table en bois et un vieux poêle en fonte était propre et vide, tout comme le dortoir de dix lits attenant. Il n’y avait plus à hésiter. Nous allions passer une soirée ...
    ... tranquille, ici, tous les deux. Nous défîmes nos sacs puis Clémentine enleva son t-shirt et son soutif. Elle retira ses croquenots et se mit entièrement nue. "Ben, chérie, qu’est-ce que tu fais"? — Je vais me baigner dans le lac avant qu’il ne fasse complètement nuit. L’eau doit y être délicieusement fraîche ! Tu viens ? — Tu es folle ! Si quelqu’un arrive ? — A cette heure ? Tu crois ? Regarde, la montagne est déserte ! C’était vrai. Il était plus qu’improbable que des piétons montent de la vallée à cette heure tardive. Quant à ceux qui étaient plus en altitude, ils avaient déjà dû poser leurs sacs dans un refuge plus en haut, de crainte de braver la nuit. "Alors, tu viens ? Je t’assure, elle est bonne !" — Non merci. J’ai trop la dalle. Je prépare à manger. Peut-être que je me tremperais après. — Comme tu veux... Et je la regardai s’avancer dans l’eau. Quelle était belle ! Ses formes parfaites, ses jambes fuselées qui disparaissaient peu à peu. Son beau petit cul ferme et bien rond, son dos et ses cheveux longs qui le caressaient... en quand elle se tourna vers moi, je vis ses énormes seins fermes et blancs, à l’exception de la partie supérieure de la gorge dorée par le soleil, et sa raie où repoussait une légère toison blonde qui m’inspiraient mille désirs. Je me mis à bander mais elle était trop loin dans l’eau, j’étais encore habillé et je voulais préparer le repas avant la totale obscurité... mais je me promettais bien d’y revenir. Quand le repas fut près, elle sortit de l’eau. ...
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