Sautée au refuge d'altitude (version hétéro) (1)
Datte: 14/03/2018,
Catégories:
Hétéro
... main sous les cuisses pour inviter Clémentine à les remonter afin qu’elle les replie et que, le cul étant au bord de la table, je puisse descendre ma tête plus bas encore pour lécher le petit œillet rose. Mes roustons, pendant ce temps, étaient à la fête tout comme ma trique consciencieusement léchée, bouffée, aspirée. Quand je fus ainsi rassasié, je me remis debout et invitai Clémentine à en faire autant. Puis je la tournai vers la table, la fit se pencher de sorte qu’elle pose tout son buste sur le plateau, les jambes bien écartée, la moule grande offerte, et je la pénétrai d’un coup. Puis je me mis à claquer son cul avec ardeur, reprenant parfois un peu de repos avant de la bourrer de plus belle, en me cramponnant tantôt à ses hanches, tantôt à ses épaules. Il n’y avait pas à se retenir, la solitude nous autorisant tout. "Tiens prends ça salope... t’aime ma bite... Tu la sens dans ta chatte hein " ? Et elle répondait en criant et en gémissant sans aucune pudeur. "Ouiii, vas-y mon amour, éclate -moi la chatte... elle est bonne ta queue...vas-y secoue -moi" — J’vais te la foutre dans le cul salope — Ouiiiiiii.... oh ouiiiiiiiiiii — Puis je vais te la refoutre dans la chatte et j’vais te remplir de foutre.... — Non.... pas dans la chatte...j’veux te lécher... — Tu veux mon sperme dans ta gueule....hein... tu veux bouffer ma sauce petite cochonne ? C’est ça que tu veux ? — Ouiiiii, arrose-moi ! Bref, nous faisions en sacré vacarme. Nous en étions bien là depuis vingt à trente ...
... minutes et je n’étais pas loin d’aboutir lorsque la porte s’ouvrit brusquement, et la pièce fut envahie dans un grand fracas de bruits sourds et de raclements provoqués par des brodequins marchant sur le plancher. Avant que j’aie pu comprendre quoi que ce soit, nous fûmes entourés par si gaillards, deux de chaque côté de la table et deux dans mon dos. "Don’t move... keep going"! Cette gentille invitation formulée d’un ton doux, fut dite alors que ma queue était encore au fond de la chatte. Mais je n’y obéis point. Au contraire, je m’arrêtai, médusé par la scène. Avant de poursuivre la discussion en anglais, que nous parlions tous couramment (ma mère est américaine d’origine et Clémentine est prof d’anglais, quant aux autres, je ne sais pas d’où leur venait cette maîtrise de la langue mais, comme beaucoup de scandinaves, ils ont beaucoup d’aisance à la pratiquer), je fis une rapide investigation de la situation, investigation pendant laquelle je perdis mes ardeurs. Les mecs avaient dû nous entendre depuis un petit moment et nous mater par la fenêtre sans que nous nous en rendions compte. Ils avaient posé leurs sacs à dos et enlevé à la hâte leurs bermudas et leurs slips mais avaient gardés leurs godasses de marche et leurs chaussettes ainsi que, pour cinq d’entre-eux, leurs chemises à carreaux ouvertes sur leurs torses dégoulinant de sueur. Au physique, ils se ressemblaient tous; six géants de près de deux mètres, soit légèrement plus que moi, très musclés et tous très blonds. ...