Sautée au refuge d'altitude (version hétéro) (1)
Datte: 14/03/2018,
Catégories:
Hétéro
... J’avais allumé des lampes qui se trouvaient à l’intérieur et nous dinâmes sur le seuil de la porte. La nuit qui commençait à s’épaissir, n’avait apporté aucune fraîcheur. Nous restâmes là un long moment, à nous délasser de notre marche du jour. Clémentine ne s’était pas rhabillée. Elle s’était assise sur son sac de couchage. La lumière qui jaillissait de l’intérieur éclairait son corps en un clair obscur puissamment érotique qui rehaussait ses formes. C’est alors que je me mis à poil à mon tour. J’allais, en titubant dans la nuit, vers le lac où je finis par tomber lourdement d’un coup dans un grand plouf, après avoir heurté une pierre. Je fus saisi par l’eau fraîche. Je fis quelques brasses, assez longtemps pour inquiéter Clémentine. "Gwendal, t’es où, je ne te vois plus" ? Je répondis en battant violemment l’eau de mes membres. "Fais attention, dans le noir tu peux te faire mal." Je lui répondis de ne pas s’en faire et je la vis qui rentrait nos affaires à l’intérieur, en trois ou quatre aller-retour, qui mettaient sa nudité en valeur à chaque fois qu’elle passait dans la lueur de la porte. Je sortis de l’eau, m’avançai prudemment pour ne pas me cogner à nouveau à un rocher et rentrai dans la pièce dont je laissai la porte ouverte à cause de la chaleur. Clémentine était debout, le dos tourné à la porte. Elle lisait notre guide de randonnée pour préparer d’autres itinéraires pour les jours suivants. Je me collai à elle puis lui pris les seins, un dans chaque main et ...
... commençai à les pétrir. "Hmmm petit cochon... il est tard... il faut prendre des forces pour demain matin..." — Il n’est pas tard... il n’est qu’un peu plus de 21 H 30... et le petit cochon a bien été allumé par une petite truie depuis qu’on est arrivé... avoue que ça t’excite cet endroit perdu où on peut faire ce que l’on veut. Pour toute réponse, elle se retourna vers moi et m’attrapa la bite qu’elle commença à branler pendant que je lui roulais une pelle bien baveuse. Je la poussai vers la table, elle s’y allongea, plia ses jambes pour m’offrir sa vulve que je n’eus plus qu’à recueillir en m’agenouillant... je me mis à lécher avec avidité. Je restai ainsi un long moment à savourer cette moule fraîche pendant qu’elle se pelotait les nichons en gémissant déjà et en tortillant du cul sur le plateau de la table. A ce moment, il y eut un grondement au loin et une forte rafale de vent. Je me relevai pour fermer la porte. De gros nuages roulaient dans le ciel. L’orage, sans doute, éclaterait cette nuit. Mais pour le moment, j’avais mieux à faire que de m’occuper de la météo. Je montai prudemment sur la table, pas très large, pour me mettre en 69, ma copine dessous et moi dessus. Et, pendant que je glissai ma tête entre ses cuisses, elle me pompa le dard. Je broutai le minou avec application, écartant bien les grandes lèvres, suçant le clitoris, l’aspirant, le titillant du bout de la langue que j’essayai de temps à autres d’introduire le plus à fond possible dans la chatte. Je passai ma ...