La Muse (12)
Datte: 16/03/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... les diverses fêtes, il pouvait y avoir beaucoup de monde ; j’acceptai. Titine (ma voiture rouge) resterait à la maison, chez mes parents, et je viendrais en métro et bus. Je me suis mise à croire en mon destin : cette force qui m’avait poussée dans ce bistrot n’était venue là par hasard. Je ne sais pas pourquoi, mais je les sentais bien, cet emploi et ce monsieur Georges. Ce soir-là je suis rentrée tard à la maison, j’ai sauté dans les bras de maman et lui ai tout raconté ; elle était ravie pour moi. Elle me donna une valise pour que je puisse emporter un max de fringues. Le lendemain matin elle m’emmena en voiture à cause de mes bagages. Je lui fis visiter ma chambre de bonne qui ressemblait à un petit studio tout confort ; elle était ravie pour moi. Je me jetais corps et âme dans mon métier de serveuse. Comme prévu, je faisais le service, Francis me préparait les commandes. Au bout d’une semaine j’avais trouvé un jeu : je prenais toutes les commandes de tête en essayant d’en prendre toujours plus. Mon record : j’ai servi trois tables de cinq personnes sans me planter. Monsieur Georges était vraiment sympa ; un jour, alors qu’il n’y avait personne, il m’a invitée à prendre un pot avec lui et nous avons parlé de choses et d’autres. Au bout d’une semaine de franche cavalcade, je suis rentrée à la maison pour deux jours de repos bien mérités. Pour rentrer, le plus simple était que je prenne le train à La Part Dieu. J’étais en avance, le train attendait ; j’y suis montée et me ...
... suis installée. Au bout de deux minutes, un charmant jeune homme est venu s’installer en face de moi. J’étais en jupe. Une idée complètement débile me vint en tête : et si j’arrivais à le faire bander, le petit en face de moi ? Chiche ! Je me fis glisser sur le siège de façon à ce que ma jupe remonte un peu. Cachée derrière mon bouquin et appuyée contre la vitre, je pouvais voir le reflet du visage mon voisin. Il me matait les jambes, que je prenais un malin plaisir à ouvrir et à refermer. La secousse du départ fit tomber mon bouquin (quelle menteuse… je l’ai fait exprès) ; je découvris le visage de mon voisin rouge jusqu’aux oreilles. Il tourna rapidement la tête vers l’extérieur. Je posai mon regard sur lui et le détaillai ; j’étais certaine qu’il devait commencer à bander. Enfin il me regarda, et je repris mon manège. Il faisait semblant de regarder ailleurs, mais ses mains le trahissaient : elles faisaient transparaître sa gêne ou son excitation. Je me penchai vers lui et lui dis : — Je te montre ma minette et tu te touches. Sans attendre de réponse – un coup d’œil pour voir s’il n’y avait pas de risque de se faire piquer – je repris ma place et fis glisser mon string au sol, puis à côté de moi. Bien calée dans mon siège je me caressai les cuisses, très haut, tout en passant ma langue sur mes lèvres. Je voyais son émotion. De temps en temps il regardait au-dessus des dossiers, et moi, impudique, j’avais posé mon pied sur mon siège ; ma jupe glissa. J’avais la minette à ...