1. Un inconnue découvre un paria dans sa famille (6)


    Datte: 13/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... gamine ne verra pas la fin de la danse, sa bouche sur ma queue et Sidonie, ma chère nièce qui lui broute le minou. « Mon père, je crains que le péché de chair ne soit punissable ! » « Il l’est ma sale gamine. Tu aimes quand ma nièce te lèche ? » « Oh oui, mon père, j’adore. » Je la pousse à prendre entièrement ma bite, la pousser plus loin que sa luette. Cela ne m’étonne guère quand sa bouche s’appuie contre mon bas ventre, ma queue bien au fond de sa gorge profonde. Isabelle s’en va danser près de Gisèle et se faire motiver par son mari. S’en est divin de la voir enfin faire ce qu’elle me faisait en cachette avec Paul. Ma sœur, c’est comme Sidonie, j’en suis fou. Bon, la danse se termine, il ne me reste qu’à finir de vider mes couilles dans la bouche de cette sale gamine. Après ce dernier orgasme, je laisse Sidonie l’achever. C’est là que ma sale gamine me montre le fond de sa bouche quand elle jouit. Ah oui, elle n’a plus ses amygdales. Ajustée dans sa robe, elle monte devant avec moi. Devant chez elle, je lui dicte la suite, le prochain rendez-vous. Parce qu’elle comme moi, on a envie que cela continue. Je lui donne mes intentions, mon programme, je veux la salir, je la sais déjà prête, sans en être complètement certain. Sa bouche embrasse ma main, elle se signe en me fixant dans une jolie génuflexion. Vas en paix ma sale gamine. L’idée du prêtre pervers fait son chemin dans ma tête. Dans la maison tout est calme. Je monte me doucher en vitesse. Dans la chambre, deux ...
    ... corps sont blotti l’un contre l’autre, entièrement dénudé, je me glisse sous la moustiquaire, m’allonge contre le dos de Gisèle et m’endors. Dès l’aube, mes deux soubrettes, avec une aide bienvenue sont à l’œuvre dans la maison de nos amis belges. Elles ont commencé par le haut, tout ouvert. Je vois les lits s’aérer aux fenêtres. Je consulte mon courrier, remplis mon journal comme chaque jour. Paul me rejoint, ensemble nous allons voir nos ménagères pendant qu’Isabelle s’occupe de mon petit neveu. Mais c’est ma sale gamine qui donne un coup de main. La vache, si j’aurais su disait petit Gibus. Mon Paul est tout aussi étonné de la voir. Je subodore un complot entre nos femmes. Du coup, je prends cette méchante fifille, l’entraine dans ma petite bâtisse maintenant terminée. Ses mains au-dessus de sa tête, dos à la colonne, je la questionne longuement en profitant de ses formes. Mes caresses deviennent vite de petites claques visant ses seins. « Mon père, je me dois de me confesser, je travaille pour le journal qui publie vos annonce. J’ai bien un mari, mais nous sommes séparés depuis un an et quelques mois. Certes, il boit, mais je suis seule fautive de cette situation. J’aime le sexe, c’est une drogue pour moi, une addiction. Avec vous, je me suis vue prise, punie. Mon père, faites de moi votre servante, je quitterais ma chambre de bonne pour venir me mettre à vos pieds et ceux de monsieur Paul ou de tout autre personne que vous me désignerez. Je ne suis ni plus ni moins qu’une ...
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