1. Un inconnue découvre un paria dans sa famille (6)


    Datte: 13/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... putain, une salope ou tout ce que voudrez que je devienne. » Aie, là, il me faut la jouer finement. Déjà une paire de claque pour mensonge. Je prends un martinet, fustige ses seins, sa peau bronzée en prend un coup. Elle supporte jusqu’à ce que ce coup que je lui porte la fasse hurler, implorer ma pitié. Dans un coin, sur du gravier encore présent, je l’agenouille de force, mains sur la tête, ma bite dans sa bouche, j’urine, soulage ma vessie. Après un bref mouvement de dégout et une paire de gifle, elle boit. Je suis fâché et déçu de ses mensonges. Une fois satisfait ou presque, je lui ordonne de retourner à son journal, d’y écrire le récit complet de ces deux jours. D’une paire de ciseau, je découpe sa robe, un trou sur le nombril, un autre juste au-dessus de son sillon anal, un dernier entre ses seins dont je confisque le soutien-gorge. Devant elle, je le brule. « Je suppose que tu as des punaises sur ton bureau ? Ok, alors tu les verse sur ton siège, relève ta robe et t’assois dessus pour écrire notre rencontre. Je veux pouvoir le lire dans le prochain numéro ! Sinon, je t’excommunie de ma vie ! » Elle sait qu’elle m’a vexé, fâché. Je ne la raccompagne pas. Dans la maison, Sidonie me regarde, un air triste. En quelques mots, je lui donne une courte explication. Il me faut me calmer, Sidonie sera mon exutoire, je la couche sur le sol, relève son tablier et la baise. Une semaine passe sans aucune nouvelle de ma sale gamine menteuse. Par contre, nous avons des nouvelles de ...
    ... Martine. Une lettre charmante qui nous donne une explication sur la chambre du premier, ce n’est pas leur enfant, mais un cousin de son mari, emporté par la maladie à l’aube de son adolescence. Je souris en donnant la lettre à Isabelle qui la lit à voix haute. Au dos, elle nous lit que Martine nous réserve une petite surprise très sexy sans rien n’ajouter. Une intrigue sexy, voilà qui ne devrait pas être trop désagréable. En fait, je m’imagine le toutou féminisé avec la barbe. Une vision très humiliante pour lui s’il pouvait lire dans ma tête. Bah, nous verrons bien, ils seront là dans une petite semaine si j’en crois cette dernière missive. J’ai mon journal en main, ma sale gamine à une belle plume, son récit est une merveille, tout y est jusqu’à sa confession complète. Je l’appelle, ordonne de nous rejoindre après son travail dans la bâtisse, le défouloir. Je convie Paul à m’aider à dresser cette sale môme. « Isabelle, serais-tu me faire une robe de curé avec une ouverture pour ma queue ? » « T’as quoi derrière la tête ? » « Sois près du mur de la bâtisse dans deux heures, tu comprendras. Oh, ajoute ce truc que les curés portent quand ils confessent. Et puis, seulement si tu peux, le petit chapeau. » « ça va, j’ai pigé. Un curé défroqué, j’avoue que l’idée n’est pas pour me déplaire. T’en pense quoi ma petite nièce ? » « S’il comme punition, il nous donne du fouet et pas des prières, je suis partante. » Gisèle y va de son compliment. Pour faire court, mon idée plait. Prêtre ...
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