Le chemin vers elle
Datte: 13/07/2017,
Catégories:
Mature,
Inceste / Tabou
... envahissante. Je suis resté ainsi longtemps, peut être un quart d'heure, peut être plus longtemps. Rien dans son sommeil n'est venu trahir quoi que ce soit. Alors, peu à peu, j'ai commencé à bouger mes reins. D'abord imperceptiblement j'ai avancé mon bassin, ma queue a avancé d'un millimètre puis de deux. J'ai reculé un peu et j'ai avancé de nouveau, un peu plus cette fois et ma bite s'est enfoncée dans les poils doux et lisses de sa toison.Rien ne trahissait quoi que soit, j'ai poussé encore un peu, ma queue se frayait un passage entre les cuisses de maman, je la sentais forcer son passage, c'était grisant. Je me suis masturbé entre ses cuisses ainsi pendant un long instant et quand j'ai senti venir l'éjaculation, je me suis retiré juste à temps pour recueillir dans la serviette de grands jets de sperme brûlant.Je n'ai pu empêcher un léger gémissement tant l'émotion me balayait.Avec les mêmes précautions, je me suis relevé et j'ai contemplé ce corps abandonné sur la couche, elle dormait la bouche ouverte, dans un abîme insondable. Alors j'ai approché ma queue encore tendue de ses lèvres et je les ai frotté contre elles. Des traces luisantes de mon foutre sont restées sur le rouge sombre des lèvres. J'ai contemplé le spectacle en tripotant mon membre et je me suis masturbé pour de bon devant son visage, frottant de temps en temps ma queue sur ses lèvres et y déposant ma mouille.Après avoir éjaculé une seconde fois, j'ai regagné ma chambre mais ma nuit fut agitée.Le ...
... lendemain j'ai guetté ses réactions, j'étais inquiet, mes yeux la suivaient quand elle s'activait dans la cuisine, mais rien ne vint trahir un quelconque soupçon.Inutile de dire que j'attendais le soir avec encore plus d'impatience que la veille, et à l'heure habituelle, je reproduisis le même scénario. Muni de ma serviette, je me glissais contre elle, retrouvant avec délice la chaleur conjointe de nos corps. Je gagnais en assurance et en habileté, certain de n'avoir pas fait le moindre bruit ni d'avoir fait trembler le lit, je lui mettais délicatement la bite entre les fesses. Comme la veille je demeurais ainsi un long moment et puis je me livrais à mes mouvements de va et viens qui faisaient coulisser ma bite entre ses cuisses. Je mouillais et lubrifiais ainsi l'endroit où ma queue se mouvait, enduisant les poils pubiens de maman de ma mouille. Mon sexe allait librement, coulissant dans la moiteur de nos corps et lorsque je ne pus plus me retenir, je me retirais et jouissais violemment dans la serviette, atteignant un nirvana de vice qui expulsait hors de mon corps des torrents de sperme.Comme la veille, j'essuyais mon gland sur ses lèvres et me masturbais à deux doigts de son nez, frottant de temps en temps ma queue sur sa bouche toute barbouillée de mon fluide.J'eus le plaisir de la voir, dans son sommeil, se passer la langue sur les lèvres et cela provoqua ma seconde éjaculation de la soirée.Comme la veille encore, le matin je la regardais avec appréhension, mais son air ...