Le chemin vers elle
Datte: 13/07/2017,
Catégories:
Mature,
Inceste / Tabou
... indifférent me rassura une fois de plus et me conforta dans mon vice, car dès lors je perdis un peu le contrôle de moi-même, imposant chaque soir le même scénario à ma mère passive et inconsciente.Un soir que je besognais ma bite entre ses fesses comme tous les soirs, je sentis soudain que mon gland venait de prendre une autre direction, plus chaude et plus humide. Retenant mon souffle encore une fois, je m'arrêtais de donner des coups de reins et je guettais une réaction qui ne vint pas. Lentement je forçais sur mes reins, sentant une résistance à la progression de mon gland, et soudain, il fit un bond en avant dans un univers à la fois chaud et humide. La bouche comme de l'étoupe, je demeurais interdit, la tête bourdonnante, affolé de cette nouvelle audace. Je restais encore une fois immobile, ne vivant que par mon gland entré par hasard dans l'univers humide et chaud qui l'entourait. C'était doux.Au comble de l'excitation, j'ai avancé les reins et ma bite a coulissé dans les chairs qui s'ouvraient, je suis resté ainsi, planté dans une grotte inconnue, mystérieuse mais que je me savais interdite.Rien autour ne bougeait, le souffle régulier de la dormeuse ne trahissait aucune émotion et je me demandais comment j'avais pu....Le vice a repris le dessus et j'ai actionné mes reins. Ma queue s'est mise en mouvement dans la moiteur tendre qui l'enveloppait. Comme c'était doux! Comme c'était chaud! Comme c'était excitant, au point que bien vite des spasmes me sont venus. Affolé je ...
... me suis retiré bien vite, juste à temps pour recueillir dans ma serviette des jets puissants de foutre bien blanc qui par saccades inondait le linge cotonneux.Les yeux écarquillés, j'ai regardé ma queue luisante d'un liquide gras. J'ai passé mes doigts dessus et j'ai porté mes phalanges à mon nez, pas de doute, cette odeur était celle de la fente maternelle, j'avais pénétré maman! Ma queue était entrée en elle, je l'avais baisée et mon gland avait ramoné le passage par où j'étais venu au monde.Je suis resté allongé un long moment contre elle, méditant sur cet acte contre nature que je venais d'accomplir.Ce soir là, il n'y a pas d'autre masturbation, avec un luxe de précautions, je me suis levé pour regagner ma chambre où je suis resté longtemps les yeux ouverts dans le noir.J'ai redouté notre confrontation du lendemain, retardant au maximum l'instant où je devais descendre dans la cuisine la retrouver. A mon grand soulagement, tout fut comme à l'accoutumer. Maman me servit mon petit déjeuner, il y eut peu de mots entre nous, elle avait le même air morne, bref, elle ne s'était rendue compte de rien!Je passais une journée fébrile la tête peuplée de mes souvenirs de la veille, de cette sensation merveilleuse de me retrouver dans cet univers satiné et absolument inconnu de moi auparavant. Je m'imaginais le soir même faisant la même chose, nageant dans une semblable félicité et rien que d'y penser ma bite enflait dans mon pantalon au point de me provoquer une gène.Je comptais les ...