Le manoir (1)
Datte: 17/03/2018,
Catégories:
Hétéro
... doit jouer sur nos sens. Je la laisse me sucer, elle continuant à masturber l’autre. Je ne peux être jaloux, il n’est que fictif. Sa taille correspond à la mienne, bien que plus musclé. Une pensée : et si sa compagne à son tour s’occupait de lui. Je tente de le pousser, rien ne bouge, comme s’il était scellé au sol. Emilie rit de me voir forcer sans que mes efforts ne soient récompensés. Elle se lève, sort de l’eau et se colle à lui, me fixant comme pour me lancer un défi. D’une voix suave, teintée de désir, elle me dit : « peut-être est-ce lui que j’aurai dû choisir ». Elle pose ses lèvres sur les siennes, je me prends au jeu. Elle est toute menue, trop petite pour lui qui ne se mettra pas à sa hauteur. Un tabouret est positionné devant une commode, mais il ne fera pas l’affaire. Je pense alors à cette table basse, Emilie lorgne déjà dessus. Je vais pour l’installer, Emilie grimpe, se met à quatre pattes, recule, commence à enfoncer ce phallus factice dans son vagin que j’ai pu voir bien ouvert et humide. Elle s’empale doucement mais surement, je lui demande — Les sensations sont-elles bonnes ? — Un peu froides, mais je m’y ferai. Je me glisse entre la table et la statue de la femme. Mes fesses sont au niveau de son visage. J’imagine un bref instant qu’elle est réelle, que de sa bouche bien ouverte en sort une langue qui me caresse l’anus. Ma pensée s’évade lorsqu’Emilie avale ma verge sans prévenir. Elle y va par des va-et-vient entre moi et l’autre. Ses gémissements sont ...
... seulement étouffés par le fait que j’occupe sa bouche. Puis, elle m’avale jusqu’à la garde, laissant l’autre sur sa faim. Ses yeux sont rivés sur les miens, je devine qu’une nouvelle pensée l’a traversée. Elle recule à nouveau, y allant bien doucement, se repositionnant. Je devine que l’homme de pierre pénètre maintenant ma belle par son orifice le plus petit. Ses lèvres serrent plus fortement mon vit, je sens presque ses dents mordre ma chair, et je me mets à rire. Je m’explique alors — J’imagine la tête de ta sœur si elle nous voyait ainsi. — Une crise cardiaque. Cependant, elle connait mieux cet endroit que nous… — Avec son air pincé, elle a dû halluciner en découvrant ça la première fois. Son mari ne semble pas plus ouvert pourtant. Ce manoir appartient pourtant bien à sa famille, non ? — Oui. Peut-être cachent-ils leur jeu. Ne dit-on pas que c’est ceux qui en parlent le moins qui en font le plus ? — Pour le coup, c’est ceux qui le montrent le moins. Cependant, je n’arrive pas à m’imaginer ta sœur à ta place. Elle me sourit, reprend sa sodomie en continuant à s’empaler, ayant la bouche bien ouverte. Je lui demande si elle trouve cela bon. Pour toute réponse, elle gobe à nouveau ma verge. Ma main droite s’en va, cherche et se pose sur la poitrine de la statue de femme. Le volume me semble le même que celui de mon Emilie, à part qu’elle est bien plus rigide et totalement frigide à mes tendresses. Ses douces caresses buccales commencent à faire leur effet. Il est trop tôt, je ...