Le manoir (1)
Datte: 17/03/2018,
Catégories:
Hétéro
... y pénètre en marchant sur ses genoux et ses mains. Elle s’arrête à mi-chemin et me demande d’aller chercher mon briquet. Je le prends, allume le chandelier posé sur le marbre noir encadrant la cheminée. Je lui donne la source de lumière, elle observe certainement ce qu’il y a dans le passage, je suis obnubilé par son joli derrière ainsi offert. Je me laisse aller, j’y plonge la tête, elle se cambre, ma langue la lèche avec avidité encouragée par ses gémissements qui résonnent jusqu’à mes oreilles. Elle m’arrête, elle ne veut pas jouir tout de suite. Elle préfère pour l’heure rester dans cet état d’excitation qui nous a gagné tous les deux. Elle libère le chemin en s’avançant plus profondément dans le passage. Je la suis, je découvre que nous sommes entre deux murs étroits, ne nous permettant pas de marcher l’un à côté de l’autre, mais du moins de se redresser sur nos deux jambes. Ce nouveau chemin débute de là où nous sommes et disparait dans le noir que nos bougies ne peuvent éclairer sans devoir s’avancer. Emilie me fait passer devant pour que j’assume mon rôle d’homme fort et viril. Je comprends au bout de quelques pas qu’elle ne désirait que libérer ses mains de ce chandelier afin de jouer de ses doigts sur mon corps et continuer à l’exciter. J’arrête d’avancer, je n’en peux plus, je veux la baiser là, tout de suite, juste nous deux éclairés par ces bougies. Je me retourne, ses yeux sont fiévreux. Elle aussi est à bout, et respire fortement. Je regarde sa poitrine qui ...
... me donne des envies de sucer le bout de chacun de ses seins. Ma main dérape, le chandelier se penche, une goutte de cire coule là où je voulais déposer mes lèvres. Emilie émet un petit gémissement, puis un râle de plaisir. Elle me sourit, tend son deuxième mamelon, une nouvelle goutte de cire, elle frissonne de plaisir. A son tour, elle veut me faire goûter ces sensations. Elle prend le chandelier, vise ma verge qui a rarement était autant tendue. La peur, une piqûre qui s’évanouit aussi rapidement qu’elle est venue : mes sens s’éveillent à un nouveau stade. Je sens son odeur, celle provenant d’entre ses cuisses. J’entends des bruits, une voix qui arrive à nos oreilles comme un murmure qui nous appelle. Nous nous regardons, nous avançons à nouveau nous rapprochant d’elle. Nous sommes curieux et voulons découvrir ce qu’il se dit et qui parle. Un escalier en colimaçon dans un si petit couloir, nous le descendons, nous enfonçant dans les profondeurs de la terre. Combien de marches sommes nous en train de descendre ? Cela semble interminable, mais la voix devient plus forte à chaque marche, même si les paroles restent incompréhensibles. Enfin le palier, notre descente est terminée. Nous soufflons les bougies, de la lumière provient de devant nous. Le couloir est plus large à cet endroit, nous avançons, nous arrivons face à une grande vitre qui donne sur un donjon. Nous nous cachons en longeant le mur. Nous entendons la voix, il y en a une autre qui lui répond, mais ne voyons ...