1. Toi et Moi dans le local désaffecté


    Datte: 18/03/2018, Catégories: fh, Collègues / Travail grosseins, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral fdanus, hdanus, exercice,

    ... encore recouvertes de documents probablement inutiles, des archives, des textes réglementaires et tous ces kilos de papier parfois jauni que personne n’a jugé bon d’emporter. Il y a là une table et deux chaises, une imposte apporte à ce réduit assez de lumière pour que nous puissions enfin nous rassasier de nos yeux. Alors tout va très vite. Nous ne parlons pas, à peine quelques mots dont je ne me souviens plus, nos bouches ont bien d’autres préoccupations que de dire à perdre haleine. Qu’est-ce qui nous sépare ? Tout juste quelques centimètres et encore. Pourtant nous ne nous touchons pas, mais nos chaleurs intimes, nos deux foyers sont si incandescents que leurs feux se mélangent aussitôt. Nos corps sont des brasiers, nous ne sommes plus que des flammes et quelles flammes ! Cependant, même si nous brûlons déjà, nous décidons de ne rien éteindre et de plonger au cœur du volcan, que plus rien ne nous distingue. Alors nous nous mélangeons. Tu défais délicatement les boutons de ma chemise, tu en écartes vivement les pans et tes mains viennent jouer avec mon torse dont tu adores palper les muscles. Oui, je fais attention à mon aspect physique, il n’est peut-être pas celui d’un super athlète mais celui d’un homme qui veut toujours séduire, te séduire et t’attirer. Il te donne envie de venir t’appuyer contre lui, de le ressentir vivre, traversé et parcouru qu’il est part de multiples petites explosions. Attrape-les si tu peux. Ta bouche, après avoir presque asséché la mienne ...
    ... et joué à cache-cache avec ma langue, s’empare de mon téton gauche. Aïe, non je mens, comme c’est bon cette ventouse humide qui vient me téter. Grossit-il, devient-il aussi volumineux que ceux que je ne vais pas tarder à mettre à jour ? Voilà, j’ai soulevé ton top un peu serré, quelques grammes d’un tissu presque inexistant, j’ai repoussé ton soutien-gorge très vite, ne comprimait-il pas tes seins ? Qu’elle est méchante cette cage qui enferme de si beaux fruits ? Ce que j’aime en eux, c’est qu’ils sont tout à fait à la taille de ma main. Elle peut les cueillir, oui vraiment les cueillir sur ton corps branche, oranger ou pommier, à toi de me dire celui que tu préfères. Je peux les englober, en appréhender toute la texture depuis leur écorce sans aucune aspérité jusqu’aux drôles de petites boules qui ne cessent de fuir sous la pression de mes doigts, aucun centimètre carré de chair ne m’échappe et surtout pas cette pointe dont je ne me lasse pas de contempler la métamorphose. Tout comme mon sexe, elle réussit à atteindre des proportions qui me semblent inhabituelles et terriblement excitantes. Cette tétine, je l’ai bien frottée, bousculée, houspillée dans tous les sens, étirée du haut vers le bas, pincée sans ménagement. C’est maintenant une petite cerise translucide que je comprime avec délicatesse pour ne pas la briser ni la faire éclater même si parfois, emporté par mon bouillonnement interne, je perds toute notion de douceur et je l’enferme solidement entre mes doigts. Je ...
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