1. Sauter du phoque à l'âne


    Datte: 19/03/2018, Catégories: f, h, hh, fhhh, hbi, hplusag, Collègues / Travail sauna, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, hdanus,

    ... dire que tant qu’à être dans le glauque, autant aller jusqu’au bout. Alors, je me mets à contempler ouvertement le sexe dressé. Comment ne pas le trouver bien fait ? Comment ne pas en admirer les séduisantes proportions ? Ce membre rigide exprime un soudain désir qui m’est familier, pareil à ce que j’ai jusqu’à ce jour exclusivement éprouvé pour des femmes. La cause de cette réaction est-elle finalement si importante ? Claude, que notre face-à-face perturbe de plus en plus, n’ose pas entrer dans l’eau. Il préfère s’étendre sur le bord du bassin. Sans quitter sa verge des yeux, je viens vers lui, et, lentement, avance la main. Il ne recule pas. Pas même lorsque je pose mes doigts sur le bout de sa tige. Encouragé par ce discret acquiescement, je commence à effleurer le gland, puis descends le long de la hampe. Un frisson parcourt son bas-ventre, raidit ses tétons. Je le sens hésiter, les muscles tendus, prêt à se rebiffer. — À ton avis, c’est ça, assumer ? soupire-t-il. Devant sa crispation, je lui accorde une pause, sans toutefois le lâcher vraiment. Je m’attends à le voir réagir d’un instant à l’autre. Mais il n’en fait rien. Il s’allonge au contraire de tout son long sur la pierre chaude, son sceptre dressé juste à côté de ma main. — Putain, mais qu’est-ce qu’il m’arrive, qu’est-ce qu’il m’arrive ? Quelques attouchements plus tard, il rend définitivement les armes dans un râle de bien-être. — En plus, c’est vraiment bon, bordel de merde ! C’est une grande première pour moi, ...
    ... qui n’aurais jamais pu imaginer effleurer volontairement le sexe d’un homme auparavant. Et me voilà maintenant m’enhardissant à le saisir à pleine main, à le caresser. Sans expérience en la matière, je commence par imiter ce que j’aime qu’une femme me fasse. Mes gestes se révèlent rapidement d’une efficacité redoutable. Sur Claude, d’abord, dont le sexe durcit de plus en plus. Sur moi ensuite, que la scène excite indéniablement. Je sors de l’eau pour m’accroupir à côté de lui. Posant mes mains sur son corps et son sexe, je le masturbe délicatement. Claude se laisse parcourir, comme le ferait une amante conquise. Ses crispations s’évanouissent peu à peu. Il se résigne visiblement à vivre jusqu’au bout cet échange. Plus je m’active sur les zones que je suppose aussi sensibles chez lui que chez moi, plus il s’offre à moi. Fasciné par le spectacle de ce corps embrasé, j’empaume ses bourses et active mes doigts sur sa tige. Le sexe palpite contre mes doigts, le sang tape dans le membre raidi. Est-ce donc cela que les filles ressentent à l’instant où elles nous font craquer ? Savent-elles à ces infimes frémissements que notre reddition est proche ? À chaque passage de mes doigts contre le gland, je veille à appuyer un doigt sur le méat qui se dilate de plus en plus. Claude répond par un lent balancement des hanches qui annonce la montée du plaisir. Il est à ma merci, gonflé d’impatience et de désir. Une étrange sensation de puissance monte alors au creux de mes reins. L’idée de le ...
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