1. Sauter du phoque à l'âne


    Datte: 19/03/2018, Catégories: f, h, hh, fhhh, hbi, hplusag, Collègues / Travail sauna, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation nopéné, hdanus,

    ... de ses seins, le temps d’accentuer mon envie d’elle. Claude ne résiste pas à cette déferlante de sensualité. Il se démène comme un beau diable, caresse, embrasse, lèche, palpe tout ce qui passe à sa portée. Je le soupçonne d’espérer ainsi se garder l’exclusivité sur Barbara, et me mettre sur la touche. Belle joueuse, Barbara lui abandonne son côté face, tout en me poussant à mettre le feu à son côté pile. Je m’attarde sur sa nuque, avant de couler le long de son dos jusqu’à son cul somptueux, qu’elle offre à ma bouche en se cambrant, fesses écartées. Elle profite de notre excitation jusqu’à la limite du raisonnable. Lorsqu’elle nous sent prêts à tout accepter d’elle, elle s’agenouille face à nous et remonte ses mains jusqu’en haut de nos cuisses, glissant son majeur entre nos fesses. Elle nous tient dès lors comme des marionnettes, et peut jouer avec nous à sa guise. J’essaie de résister. Elle me corrige d’une méchante griffure de l’ongle sur le périnée. Non loin de nous, des visiteurs se douchent, sans se douter que, juste à côté, une nana tient deux mecs raides bandés à sa merci, ses doigts longs et fins prêts à fouiller leur fondement. S’ils s’aventuraient au-delà de leurs étroites cabines, ils pourraient voir la femme jouer au bilboquet avec ses hommes d’un soir, les rapprocher jusqu’à se toucher par la seule force de ses poignets. Puis, d’une légère injonction des doigts, les inciter à se caresser l’un l’autre. S’ils se montraient plus attentifs à ce qui se passe ...
    ... autour d’eux, les visiteurs pourraient même entendre les souffles rauques des amants. Mais, trop occupés à se contenter de la sensualité policée prévue par le règlement, les visiteurs ne se hasardent pas hors des chemins balisés. Ils ne sauront jamais avec quelle habileté Barbara est capable de pousser les deux hommes au plus près de la jouissance, tout en les empêchant au dernier moment de se répandre par inadvertance. L’éjaculation de ses marionnettes, c’est sa prérogative, la clef de son pouvoir. Bien plus que de caresses lascives, elle va jouir ce soir de sa domination sur ses amants en rut, se délecter du plaisir de pénétrer, non de se laisser pénétrer. Sans ménagement, elle augmente la pression de ses doigts entre nos fesses. Nous nous contractons sous l’assaut inhabituel, mais finissons par nous soumettre. Elle s’enfonce alors d’un coup en nous. La douleur est fulgurante. Elle n’en a cure. En quelques secousses, elle atteint ce qu’elle cherche, au plus profond de nos entrailles. Dès qu’elle effleure la glande érogène, nos sexes cabrent, se tendent vainement à la recherche d’un orifice où se répandre. Ce n’est pas le genre de plaisir qu’elle nous réserve. Elle se contente de lécher nos glands distendus pour nous faire patienter, ne nous autorisant que de très brèves intrusions entre ses lèvres. Lorsqu’elle sent aux mouvements désordonnés de nos hanches que nous perdons le contrôle, elle commence son massage libérateur. Un spasme douloureux fait exploser nos prostates ainsi ...