1. 15 juin - 21 juin


    Datte: 19/03/2018, Catégories: f, fh, fffh, hplusag, fplusag, Collègues / Travail jardin, noculotte, photofilm, Masturbation fgode, préservati, humour,

    Il faut se lever tôt. La nuit a été courte. Le réveil est difficile. Après un petit déjeuner rapidement avalé, nous prenons la route de la capitale. La circulation est fluide. Anne nous dépose, Dominique et moi, à la bibliothèque dans les temps. Je téléphone à mon médecin pour savoir si je peux passer ce soir pour faire retirer mes points de suture, puis à Maman pour lui annoncer que je passerai chercher mon fauve le lendemain. Elle insiste pour que je reste dîner. À peine ai-je raccroché, le téléphone sonne. C’est un fournisseur qui demande des éclaircissements sur une commande de livres. Ensuite c’est l’administration qui veut des précisions (encore !) sur les factures. La section des travaux téléphone, les ouvriers qui sont passés vendredi ayant oublié de faire signer le bon d’intervention. Puis c’est Anne qui veut parler à sa fille. Le tout entrecoupé d’appels téléphoniques de lecteurs. Au milieu de tous ces coups de fil, Dominique et moi n’avons guère le temps de parler de ces deux jours en Normandie. Comme elle a une course à faire pendant l’heure du déjeuner, j’en profite pour aller déposer mes pellicules chez le photographe (qui me fait un grand sourire, inutile de se demander pourquoi…) et acheter une chaînette plus fine et deux petits cadenas très plats pour le sous-vêtement d’Anne. Je reviens à la bibliothèque en grignotant un sandwich. J’y retrouve Dominique pour l’arrivée du public. Le soir, nous nous quittons sur un baiser. J’ai juste le temps de filer chez mon ...
    ... médecin. Je suis son dernier patient. Il m’ôte les points de suture sans problème et me dit que je garderai probablement une petite cicatrice. Je vais ensuite faire une apparition à mon club de self-défense où je me fais trop rare. Je retrouve Dominique à la bibliothèque et l’accueille d’un baiser. L’arrivée du public ne nous laisse guère le temps de parler. Dans la matinée, Anne nous téléphone et nous annonce que Pierre, son époux, a l’opportunité de passer par Paris. Il doit arriver ce soir pour repartir samedi matin. Gwendoline n’est pas au courant. Or, cette dernière avait l’intention de venir chez moi. Il faudrait l’avertir pour qu’elle rentre. Pas de problème. Ce midi il faudra foncer à la maison pour l’avertir. Comme cela risque d’être juste au point de vue horaire, j’irai seul. Dominique assurera l’ouverture si je ne suis pas rentré à temps. À la maison, j’ai la chance de retrouver Gwendoline. Elle est surprise de mon arrivée. Du baiser que nous échangeons, je déduis qu’elle la range plutôt dans les bonnes surprises. Je lui délivre le message. C’est là aussi une surprise, mais qu’elle n’a pas l’air de mettre dans la même catégorie que la précédente. Elle avait visiblement mis dans sa petite tête d’autres projets pour sa soirée. Je me prépare à repartir aussi vite que je suis venu et veux lui déposer un rapide baiser sur les lèvres, mais elle ne l’entend pas de cette oreille. Elle se suspend solidement à mon cou. Je ne vais quand même pas me débattre, après tout, je ne ...
«1234...27»