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15 juin - 21 juin
Datte: 19/03/2018, Catégories: f, fh, fffh, hplusag, fplusag, Collègues / Travail jardin, noculotte, photofilm, Masturbation fgode, préservati, humour,
... suis pas à la minute. C’est un baiser vraiment chaud. Je dois faire un effort pour essayer de me dégager doucement. Ma queue est raide comme un passe-lacet. Gwendoline me laisse échapper avec autant de regrets que j’en ai à partir. Mais quand faut y aller, faut y aller. Le trajet jusqu’à la bibliothèque n’est pas trop long pour que je retrouve un peu de calme. Dominique a assuré l’ouverture. Pour le lendemain, j’organise un dîner avec mes copains du magasin d’électronique qui m’ont fait le reproche de me faire trop rare depuis quelque temps. En sortant, je vais chez Maman et lui fais durant le repas le récit, édulcoré bien sûr, de ma fin de semaine normande. Après avoir mis mon fauve dans son panier, malgré ses protestations, je rentre à la maison. Je ne suis pas long à m’endormir, après un câlin avec Sekhmet. Après avoir embrassé Dominique, je lui demande comment s’est passée la soirée chez les Saint Lescure. Elle me répond que son père s’est montré égal à lui-même, ne parlant que de ses affaires, sauf quand il lance ses oukases sur la vie familiale. Il a mis sur pied pour ce soir un dîner avec des gens aussi ennuyeux que lui. Bref, ce n’est pas la joie. Elle préfère passer à un autre sujet. Pour lui remonter le moral, je lui fais remarquer que c’est grâce à l’un de ces oukases que j’ai pu la connaître. Elle me répond qu’il ne l’a pas fait exprès, sinon il s’en serait abstenu. Sur ces mots définitifs nous répondons à l’appel du travail. Elle passe et repasse devant moi. ...
... Elle est à croquer. Cela me donne de l’appétit. Je la suis à pas de loup dans les rayonnages. Je l’attrape par la taille et l’embrasse sur la nuque, lui murmurant qu’elle est merveilleuse et que je l’aime. Elle a un sursaut de surprise et s’immobilise. Je déboutonne sa robe dans le dos et la fais glisser de ses épaules. Elle lui fait poursuivre son mouvement jusqu’au sol. J’envoie son soutien-gorge lui tenir compagnie. Continuant à lui bécoter le cou, je passe les mains sous ses bras pour flatter sa poitrine. Ses aréoles durcissent et se dressent. Elles ne sont pas les seules. Pour un meilleur accès elle pose complaisamment les mains sur un rayonnage au-dessus de sa tête. J’en profite pour caresser longuement ses seins, les pincer et en faire rouler les pointes entre mes doigts. Elle colle ses fesses contre moi. Je baisse son slip, qu’elle enjambe. J’ai le temps de constater que l’entrejambe en est bien humide. Je reviens un temps à ses seins avant de lancer une main à l’assaut de sa chatte. Mes doigts sont bientôt poisseux. De l’autre main je libère mon sexe. Quand je la sens au bord de l’explosion, je le pointe vers sa féminité, l’attrape par les hanches et m’enfonce lentement en elle. Ma collègue et néanmoins chérie pose un pied sur une marche d’escabeau pour s’offrir encore plus à ce pieu qui l’investit. Elle gémit doucement au rythme du va-et-vient. J’accélère l’allure et la force des coups. Mon ventre claque contre ses fesses qui vont au-devant de l’envahisseur. Elle se ...