1. 15 juin - 21 juin


    Datte: 19/03/2018, Catégories: f, fh, fffh, hplusag, fplusag, Collègues / Travail jardin, noculotte, photofilm, Masturbation fgode, préservati, humour,

    ... fige. Je devine qu’elle se mord les lèvres pour ne pas laisser échapper un cri trop sonore. Son corps se détend. Je me retire pour me répandre sur ses fesses et son dos. Nous allons à la cuisine pour faire un peu de toilette et reprendre nos esprits. Elle me fait remarquer : — Aujourd’hui, personne n’a eu le mauvais goût de venir jouer les empêcheurs de tourner en rond.— Ah bon ! Tu appelles ça comme ça ?— Les empêcheurs de baiser tranquille, si tu préfères. Nous rions tous deux. Le reste de la journée se passe sagement. J’organise pour le dimanche midi un repas avec mon ami d’enfance Patrice Stofflet et sa femme Claude. Je voudrais leur présenter Dominique et Gwendoline, qui sont d’accord, bien entendu. Le soir, le dîner avec mes trois copains est on ne peut plus joyeux. Guillaume Boishardy nous annonce son mariage avec la charmante Louise Frotté qu’il fréquente depuis déjà quelque temps. Joseph Puisaye et Brigitte Royrand éclatent de rire à cette annonce. Tout le monde les regarde, interloqués. Ils expliquent alors qu’eux aussi voulaient faire cette même annonce. Charles Bonchamps, qui a déjà passé la bague au doigt à Elisabeth Elbée voici quelques mois, cette dernière et moi, félicitons les futurs mariés. Je leur suggère que ce serait formidable d’avoir un mariage double. Ils sont emballés par mon idée et la reprennent à leur compte. Une partie de la soirée se passe ensuite en projets, en mises au point pour la concrétisation de cette future grandiose journée. Personne ne ...
    ... fait allusion au fait que je sois le dernier des mousquetaires à être seul. Il faudra que je leur présente, comme à Patrice et Claude, Dominique et Gwendoline. Il est tard quand je rentre chez moi. Sekhmet me fait de véhéments reproches. Elle me fait savoir que j’en prends un peu trop à mon aise avec ses heures de repas et que son estomac, lui, est réglé comme une horloge. Que je devrais le prendre pour modèle. Non mais ! Une solide gamelle et un gros câlin me font pardonner. Ce jour-là, à la bibliothèque, Dominique et moi sommes beaucoup plus sages que la veille. Seuls quelques petits bisous égaient notre matinée. Quand je lui demande comment s’est passé le dîner de la veille, la réponse fuse : — Le repas a été aussi sinistre que prévu. Elle précise, mi-furieuse, mi-amusée, qu’elle soupçonne son père de vouloir arranger pour elle quelque chose qui ressemblerait à un mariage, avec le fils d’un industriel, plus vieux qu’elle d’au moins quinze ans. Ledit fils, invité au repas avec ses parents, est aussi amusant que son père. Quand elle a discuté avec lui, après que l’on se soit arrangé pour les laisser en tête à tête, il n’a été capable que de parler « courbe de production, investissement, problème de change » et autres joyeusetés. Ce n’est pas inintéressant, mais il est incapable de parler d’autre chose. Dès qu’elle a essayé d’orienter la conversation vers la peinture, la musique, l’histoire ou la littérature, cela a été un bide total. Un peu avant l’heure du repas, on frappe ...
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