1. 15 juin - 21 juin


    Datte: 19/03/2018, Catégories: f, fh, fffh, hplusag, fplusag, Collègues / Travail jardin, noculotte, photofilm, Masturbation fgode, préservati, humour,

    ... je finis de ranger quelques babioles dans la cuisine. En sortant, j’embrasse Dominique avant de rejoindre la salle de bains à mon tour. Quand je regagne la chambre, je m’aperçois que Gwendoline s’est déjà endormie. La journée a dû être fatigante et le petit tripotage de chatte durant la projection a dû finir de lui couper les pattes. Je regrette un peu, car moi ça m’a plutôt mis en appétit. Enfin bon ! Je me couche le plus doucement possible. Malgré ce que mon état d’excitation me laissait penser, je m’endors rapidement. À mon réveil, Gwendoline est encore dans les bras de Morphée. Elle est couchée sur le côté, les jambes un peu pliées. Durant la nuit, elle a repoussé le drap qui devait lui tenir chaud, découvrant ainsi ses épaules. Cela me permet de constater qu’elle ne s’est pas encombrée de chemise de nuit. Je tire le plus doucement possible pour la dévoiler complètement. J’examine dans la pénombre ses gracieuses courbes. Je ne peux m’empêcher de penser à ma contrepèterie de la veille. C’est vrai qu’elle a un beau fessier prometteur. Rien qu’à le regarder, j’ai la trique qui me vient. Un petit coup d’œil sur le réveil m’apprend qu’il y a presque neuf heures qu’elle dort. Cela m’ôte mes derniers scrupules. Je me lève et vais arracher une plume à mon plumeau de réserve et reviens en effleurer la belle endormie. J’insiste sur ce cul qui a éveillé mes sens. La victime s’agite et finit par se tourner. Elle se retrouve sur le dos, offrant maintenant à ma concupiscence la vue de ...
    ... sa poitrine. Je la contemple quelques instants. C’est à elle que s’attaque maintenant la plume. Gwendoline tente de chasser l’importune, mais celle-ci revient toujours à la charge. Je me rends rapidement compte que la coquine s’est réveillée mais qu’elle feint le sommeil. Sa respiration n’a plus la même régularité, ses mouvements pour écarter la plume la même spontanéité. Je continue un peu mon manège jusqu’à ce que je juge ses tétons suffisamment dressés. Alors j’arrête et attends de voir ce qui va se passer. Au début, rien. Puis, à mesure que le temps passe, la belle s’agite. Je vois ses paupières frémir. Elle essaye de regarder ce qui se passe, de savoir le pourquoi de l’interruption. Je pose alors ma plume pour prendre ostensiblement un livre sur la table de chevet. Je m’adosse à mon oreiller et commence à lire, sans perdre du coin de l’œil les réactions de la délaissée. Elles ne se font guère attendre. Elle se redresse : — Il est si passionnant que ça ce bouquin, pour que tu me laisses tomber pour lui ?— Tu avais l’air de si bien dormir, je ne voulais pas t’importuner davantage, réponds-je avec l’air le plus parfaitement innocent qui soit. Je pense qu’elle ne croit pas un traître mot de ce que je lui dis. Elle se saisit de son oreiller pour m’en asséner quelques coups. Chacun de ceux-ci est accompagné d’une épithète : provocateur, pan ! un coup ; hypocrite, pan ! un autre coup ; sournois, pan ! encore un coup ; faux-cul, et re-pan ! Je décide de l’arrêter avant qu’elle ...
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