15 juin - 21 juin
Datte: 19/03/2018,
Catégories:
f,
fh,
fffh,
hplusag,
fplusag,
Collègues / Travail
jardin,
noculotte,
photofilm,
Masturbation
fgode,
préservati,
humour,
... m’était sorti de l’esprit que ce matin je l’avais cadenassée. Mon petit côté pervers me pousse à laisser mariner un peu : — J’ai dû laisser la clef dans la salle de bains ou peut-être dans la chambre. Va la chercher pendant que je prépare le café. Elle se précipite hors de la pièce, pour y revenir cinq minutes plus tard m’annoncer qu’elle n’a rien trouvé. Compatissant, je propose de l’accompagner pour l’aider. Les minutes s’écoulent en vaines recherches. Ce qui n’est pas étonnant puisqu’elle est au fond de ma poche… Gwendoline a l’air si désemparée que j’ai un peu honte de moi. Je décide d’abréger son supplice. Je retrouve comme par miracle la clé disparue. Je veux malgré tout la pousser un peu plus dans ses retranchements : — Si j’ouvre maintenant, tu me devras un gage.— D’accord, répond-elle avant même de savoir de quoi il retourne. Moi non plus d’ailleurs, puis une idée me vient :— Ce soir, nous ferons une petite promenade…— C’est une bonne idée.— Je n’ai pas fini. Tu mettras ta charmante petite minijupe jaune, mais sans rien dessous…— Mais elle est très…— Si tu commences à discutailler…— Je n’ai rien dit, je suis d’accord.— Je crois que les jardins du Trocadéro seraient une bonne destination pour toi qui prends ta grande sœur pour modèle.— Oui. Tout ce que tu veux. Dépêche-toi. Je la délivre. Elle se rue dans la salle de bains. Quand elle réapparaît dans la salle à manger, elle est beaucoup plus sereine. Sur le coup de six heures, Maman manifeste son intention de ...
... rejoindre son domicile. Anne décide de l’imiter. Elles partent de concert. Manifestement, le courant passe on ne peut mieux entre elles. En nous quittant, Maman embrasse les deux sœurs avec effusion. Visiblement, elles sont adoptées. Je suis soulagé. La présentation de mes chéries à Maman et leur acceptation n’est plus un problème. Je ne pouvais espérer meilleur scénario. Je pense qu’Anne y est pour beaucoup. Après le nombre de copieux repas depuis deux jours, nous dînons léger, arrivant un peu à saturation. Sekhmet, après avoir été une carpette tout l’après-midi, retrouve de l’ardeur pour sa pâtée. Puis elle retourne se vautrer. Elle aime bien la chaleur, mais il ne faut pas exagérer quand même. La table débarrassée, Gwendoline propose d’aller faire un tour. Dominique trouve que c’est une bonne idée d’aller s’aérer, car elles n’ont pas mis le nez dehors de la journée. Je trouve aussi que c’est une saine occupation. Gwendoline nous demande de l’attendre deux minutes, le temps qu’elle se change. Comprenant à quoi elle fait allusion et me sentant un peu coupable du mauvais tour joué, je lui dis que ce n’est pas la peine, que c’est très bien comme ça, le reste étant une plaisanterie douteuse. — Ce qui est dit est dit, persiste-t-elle en se dirigeant vers la chambre. Dominique s’abstient de toute question. Sa sœur revient vêtue de sa minijupe jaune, tout sourire dehors. Le moins que l’on puisse dire c’est que sa robe est vraiment mini de chez mini et moulante en plus. D’un pas conquérant ...