15 juin - 21 juin
Datte: 19/03/2018,
Catégories:
f,
fh,
fffh,
hplusag,
fplusag,
Collègues / Travail
jardin,
noculotte,
photofilm,
Masturbation
fgode,
préservati,
humour,
... d’un discret mouvement de tête. — Même pendant que tu jouais au piano ? Nouveau signe de tête d’Anne qui rosit. Se tournant maintenant vers moi, ma blonde amie demande, émoustillée comme une puce : — Pourrais-tu en faire d’autres, pour Domi et moi ? C’est une bonne idée, hein Domi ? Cette dernière, un peu dubitative, approuve du bout des lèvres. Je réponds que c’est faisable. À ma surprise, Anne enchaîne en expliquant les améliorations que l’on doit apporter au modèle original. Enthousiaste, Gwendoline demande à sa mère de bien vouloir se charger des travaux de couture pour toutes les trois, tandis que ma collègue chérie garde un silence rêveur. Vient maintenant le tour de la dernière pochette. À mesure que les clichés s’étalent sur la table, le silence se fait plus profond. Pour le rompre et probablement pour masquer sa gêne, Anne lance : — C’est un gros suppositoire… Cela détend l’atmosphère. Dominique s’inquiète : — Ça ne fait pas mal de… ?— Se faire enculer ? Non, Bernard a été très doux, et il faut dire que la voie avait été quelque peu préparée. Elle ajoute qu’il y avait eu des antécédents et enchaîne en faisant le récit qu’elle m’avait fait dans sa chambre de l’inauguration de son petit trou au pensionnat. L’heure tourne et il faut remballer les photos pour aller accueillir le public. Anne et Gwendoline prennent congé. Profitant d’un creux dans la fréquentation, je m’approche de ma collègue chérie, la sentant troublée. Elle m’avoue que, d’avoir vu les photos de sa ...
... mère, cela lui a fait quelque chose. Que cela la gênait, contrairement à Gwendoline apparemment. Que voir les photos de sa sœur ne lui avait pas fait cet effet. Je lui avoue que moi aussi j’aurais préféré que les choses se passent autrement et que les photos de chacune restent du domaine privé, uniquement entre elles et moi. Mais aussi qu’il faut faire contre mauvaise fortune bon cœur, les circonstances en ayant à plusieurs reprises décidé autrement. Durant l’après-midi, elle reprend petit à petit contenance. Quand vient le moment de la fermeture, je la laisse partir à regret. J’aurais préféré rester avec elle. Avant de rentrer, j’ai juste le temps de passer chez un marchand de couleurs pour acheter chaînettes et cadenas en vue d’autres sous-vêtements maison. En sortant, il me vient une idée. Plutôt que de saborder des manches d’outils, autant utiliser le matériel ad hoc. Je me rends donc dans une boutique spécialisée et m’y procure un jeu de godemichés avant de rentrer à la maison. Une fois mon fauve et moi nourris, je me mets à la fabrication de la commande. Tout en travaillant, je pense aux circonstances qui m’ont amené à me pencher sur l’établi. Il est vraiment dommage que la connivence instaurée avec chacune d’entre elles par le biais des photos ne soit pas restée privée. Entre les deux sœurs, passe encore, mais avec Anne ce n’est pas la même chose. J’ai beau me dire qu’il est inutile de me mettre martel en tête, que l’on ne peut revenir sur ce qui est arrivé, je ne peux ...