1. Passé-croisé


    Datte: 13/07/2017, Catégories: f, ff, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... trentenaires occupe l’une d’elles. Nous passons devant eux avec un sourire, un peu contraint tout de même. L’homme nous fera face, mais le regard courroucé de sa compagne quand il nous a un peu trop matées devrait le convaincre de garder ses yeux rivés à ceux de sa femme ou sur son plateau. Val nous laisse nous installer sur la banquette, tout au fond. Elle servira de paravent supplémentaire, ô combien fragile, entre le reste de la salle et nous. Assise, je ne peux que constater avec Chloé que l’homme aura un spectacle quasi intégral, surtout sur moi ; Chloé est un peu plus à l’abri dans le coin. Je brise le silence gêné : — Bon, qui se lance ?— Je… je vais le faire d’abord, mais… après la salade. Peut-être qu’ils seront partis d’ici là. Chloé commence sa salade, je picore quelques frites. Du coin de l’œil, j’observe Chloé : elle a passé une main sous la table et défait sa ceinture. Elle me la donne ; je la pose dans le sac et retire la longue robe verte. — Oh putain ! Je vais être obligée de me lever pour la passer. Chloé est blanche comme un linge. Je regarde Val ; laquelle de nous deux va le dire ? J’avale ma salive. C’est le temps qu’il fallait à Val : — Chloé, on abandonne si tu veux… On pourrait plutôt…— Comment ? Ah non, les filles ; si vous voulez vous dégonfler, c’est votre problème, pas le mien. Ça sera entre vous et votre conscience. Maintenant le diesel est chaud ! Sous l’éclat de voix, l’homme a tourné les yeux vers nous ; je me mords les lèvres pour ne pas ...
    ... rire quand je vois sa femme lui donner un coup de pied sous la table. Rouge, l’homme retourne à son dessert. Chloé en profite et retire sa petite robe. Voilà, elle est toute nue ! Elle m’arrache la robe verte et l’enfile par la tête. Elle se lève à moitié ; son sexe bien visible au-dessus des plats. Une seconde, deux tout au plus et elle se rassoit, triomphante. Elle tire un peu sur sa robe pour l’ajuster. Maintenant, c’est comme si elle n’avait jamais rien porté d’autre. Je guette toujours les regards de l’homme ; son air ahuri quand il voit la nouvelle tenue de Chloé lui vaut un nouveau coup de pied. Je vois distinctement ses lèvres murmurer : « Mais… » La femme se tourne un instant vers nous ; je souris, innocente. Dès qu’elle a le dos tourné, je demande ma nouvelle tenue, oubliant complètement le porte-jarretelles et les bas pour Claire. Val me tend un bustier, juste un bustier et rien d’autre. — Euh… Le bas ?— Ah oui, les bas, suis-je bête ! plaisante Val. Elle me donne des bas autofixants, et toujours rien d’autre. Elle me montre ses mains vides et ajoute : — Un rien t’habille de toute façon, non ? Comme je choisis à présent la plupart de mes vêtements pour être commodes à enlever, il ne me faut guère qu’une poignée de secondes pour être nue à mon tour. Comme à chaque fois dans ces instants, je perds un peu le contrôle de moi-même. Plus rien ne compte que les regards de Val sur mon corps. Laissant le bustier, je tends une jambe dans l’allée et enfile un bas ; je l’ajuste ...
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