Passé-croisé
Datte: 13/07/2017,
Catégories:
f,
ff,
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
... haut sur la plage, s’installait contre la dune. Je passai sans ralentir. Plus personne devant : sans m’arrêter, je défis les agrafes du haut du maillot ; quelques mouvements et il était dans ma main. Je ralentis et je marchai ainsi quelques minutes. L’homme nu était maintenant loin, à peine visible. Je quittai le bord de l’eau, posai mon sac, sortis la serviette. J’étais seins nus, juste vêtue d’un short, assise là bêtement face à la mer. Sans plus réfléchir, j’enlevai le short et le gardai à mes pieds. Voilà, c’était fait. J’étais nue à l’air libre. À partir de là, tout s’est accéléré. J’ai couru vers la mer, nagé, puis je suis revenue en riant toute seule, heureuse et libre, sur ma serviette. Un couple est passé devant moi ; ils étaient nus et épilés intégralement. Ils m’ont juste dit bonjour en passant, mais moi je n’avais pas pu détacher mon regard du sexe de la femme. Quand ils se sont éloignés, j’ai regardé mes poils, et je me suis dit : « Pourquoi pas ? » J’ai entamé la marche de retour vers la zone du parking où m’attendait sans doute déjà Alice. Je ne parvenais pas à me rhabiller. Quand je la vis au loin, me tournant le dos car guettant mon trajet habituel, je soufflai un grand coup mais je ne mis que mon tee-shirt. Plus, c’était trop : je n’avais toujours pas évacué la tension sexuelle en moi, au contraire. Je lui dis bonjour, je lui expliquai que j’avais déjà fait ma baignade et qu’elle pouvait y aller pendant que je préparais tout. On déjeuna ensuite. Je restais ...
... silencieuse dans une position assez inconfortable, à genoux, les pieds sur les fesses bloquant le tee-shirt et les mains devant pour tirer dessus quand il voulait remonter. Situation certes inconfortable, mais qui m’amusait follement… et m’excitait toujours plus. Le petit déj’ fini, je dis à Alice : « Écoute, je sais que ce que tu vas voir va te choquer, mais c’est comme ça que je me sens bien. » Elle me regarda, interloquée. Toujours à genoux, je fis passer mon tee-shirt par-dessus mes épaules, puis toute nue je courus plonger dans la mer accueillante. Val s’esclaffe : — Et elle a pris ça comment ?— Encore moins bien que je le craignais ! Quand je me suis retournée, elle rangeait rageusement les affaires. — Et Alice, toujours pas revenue ? demandé-je.— Oh non ! Et elle m’avait fait un sale coup, volontairement ou non.Il me restait ma serviette et mon tee-shirt, mais je n’avais plus mon sac. Je me séchai rapidement, toujours sous les regards d’une dizaine de personnes et j’enfilai le seul vêtement qu’il me restait. Et c’est donc à moitié nue et sans baskets que j’ai refait, surtout en marchant, les quinze kilomètres qui me séparaient de notre appartement. La traversée de la ville fut assez épique ; heureusement il n’y avait que des petites rues endormies à parcourir à cette heure encore matinale. Alice me remplaça le mois suivant par une autre colocataire. Ce fut dur financièrement pour moi, mais je pus trouver un petit studio plus près de la plage. J’y allais tous les jours à ...