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Diane chasseresse
Datte: 20/03/2018, Catégories: Humour, Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme
Mon truc c'est la chasse. J'en désole ma petite fille qui trouve barbarequ'avec les copains j'aille des fois débusquer le gibier et flinguer lescanards sauvages de l'étang. Avec l'âge c'est devenu une passion. C'estsurtout l’occasion d'être en bande avec les copains. J'assure à mapetite fille que j'use de moins en moins du fusil. J'ai compris que monplaisir résidait dans la flânerie avec les potes que plutôt que deramener une pauvre bestiole dans la gibecière. Je l'ai moyennementconvaincu. Chasseur un jour, chasseur toujours.En attendant je ne dédaigne pas une chasse d'un tout autre ordre. J'aimecourir les femmes et les filles alentour. Je tenais à mon statut de veufet de king étalon. Veuf joyeux je conservais le loisir de collectionnerles aventures. Je n'avais pas à me contraindre et pouvais shooter àtout-va celles qui passaient à porter du fusil. Ainsi avais-je unecoquette et flatteuse réputation. Il est notoire qu'on appelle Don Juanle coureur et salope celle qui a la prétention effrontée d'en faireautant. Le monde est injuste. Plus bête que méchant.Je pouvais traquer bien au-delà du département. Aussi ne fus-je pas peusurpris que le gibier parvint un jour à quelques pas sous les traitsd'une charmante dame nantie de son fade mari. Elle s'appelait Lucie.C'était une belle quadra avec une tête bien emplie et assez conscientede ses capacités. Une sorte de bas bleu. Tout ce que j’arbhore. Sonstupide mari n'avait de cesse de louer son épouse. Celle-ci avait tantde diplômes, ...
... avait fait de la politique, sévit en un grand cabinetd'avocats et à ce jour s'établissait comme conseil et traductrice.Bref par le truchement du télé travail elle gagnait sa vie en restantchez soi. Je sus plus tard quelle avait consenti à ces nombreuses tâchespar dépit. Pour ces supposés gâtés de la vie je ne comprenais pascomment ils était venus échouer dans ce bled de pourri. les gensgagneraient à ne pas se la raconter et à assumer un échec dans la viequi peut-être tout relatif. Ce point suffit à me rendre désagréable lecouple hormis que la belle me plaisait. Surtout j'avais décelé la garcede haut vol. La vraie vicieuse. La tordue. La perverse.De toute façon son mec avait une tête façonnée de cocu. Pigeon idéaldont on peut n'avoir honte de piquer la femme. On peut croire qu'il voussupplierait de le faire. Mes copains alentour parvinrent aux mêmesconclusions. Il ne s’agissait que de savoir qui le premier choperait. Ilétait vraisemblable qu'elle recrutait loin du patelin afin de préserverl'incognito. Cependant la louve pouvait avoir envie d'un amant desecours à peu de pas. J'étais résolu à lui soumettre mes services. Il setrouva pourtant une hostilité au début éprouvée entre nous.Je lui avais craché d'emblée tout mon mépris pour l'engeance féministe.Elle le prit pour elle. Je lui signifiais que je n'étais pasimpressionné par son langage ni son bagage. Une femme n'était pour moiqu'une femelle. Un océan de principes nous séparait. Je n'eus pas faitautrement si je voulais la rebuter ...