1. Diane chasseresse


    Datte: 20/03/2018, Catégories: Humour, Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... de moi. Je sciais la branche oùj'étais assis. Pourtant mon petit doigt me disait que le mépris était leplus sûre chemin pour parvenir jusqu'à elle. Elle sentait sa soumise àmille lieux. L'orgueil voulu d'être humiliée. Je pouvais être son maître.Peu à peu je lui fis entrevoir que le rustre supposé pouvait cacher unfin lettré et que mes objections pouvaient n'être pas toujours dénuéesde fondement voire de profondeur. Je vis son étonnement. Je marquais despoints. La garce était ferrée. Elle voulut savoir du mystère que je luiparaissais. Nous eûmes notamment une conversation sur Sainte-Beuve,auteur peu prisé aujourd'hui et qui soufre de son comportement enversHugo et Baudelaire. Au bout du compte elle se rallia à mes thèses. Elleme découvrit sous un nouveau jour. Je pouvais passer à la seconde phase.Ma réputation de Don Juan lui était parvenue. Elle affecta de se moquerde tout coq de village. Je lui dis que j'étais d'accord et méprisaistoutes ces renommées usurpées. Façon de lui faire entendre qu'il netenait qu'à elle de m'éprouver sur ce terrain. Elle était férue decheval et regrettait ne pouvoir satisfaire à son ancienne passion. Jeconnaissais peu loin un haras dont le propriétaire était un ami. Bientôtnous fûmes à parcourir les prés sur deux grosses rosses. Peu après labrume matinale, nous vîmes derrière une colline se lever le soleil. Parmimétisme je lui dis que c'était Austerlitz.Elle goûta l'anecdote. Je la trouvais délicieuse dans sa tenue decavalière. Le chignon lui ...
    ... allait bien. Lui donnant un air sévère.J'avais pu observer ses gestes sûres et sensuelles. J'étais conquis. Ilme tardait à la culbuter. Nous parvînmes au bout d'un champ où un grosarbre semblait seul s'ennuyer. On y voyait de loin le tracé del'autoroute où défilaient les gros bahuts. Signe tangible de lacivilisation ou de la modernité. Nous étions d'accord d'honnir cela.Nous étions face à face, nos regards fondus en un seul. Elle embrassaitbien.J'eus idée un peu pour l'humilier d'évoquer de loin son mari. Elle pritcela tel un coup de cravache. Je le renvoyais d'un coup à sa conditionprésente et si médiocre. Je manifestais ainsi mon étonnement qu'elle putaccepter d'aliéner son destin à un type pareil. Elle méritait mieux etnotamment un amant comme moi. D'un geste impérieux elle se trouva àgenoux tandis que je sortais mon sexe. D'un œil sévère je regardaiscomment avec sa bouche elle se dépêtrait de la chose. Elle s'endébrouilla très bien. Elle avait un rouge à lèvres vermillon.Je l'appuyais contre l'arbre et d'une façon leste lui baissais laculotte. Le fil du string écarté commença la sarabande. Je fus sanségard lui giflant de temps en temps le cul. Elle goûtât le traitement.Le mot de salope qui résonnait dans l'air n'était pas le moindre. Dansl'herbe en levrette j'infligeais une sodomie. Je ne pouvais moins. Maqueue était manifestement grosse. Elle me supplia de plus dedélicatesse. Je n'en tins compte et l'enculais avec délectation. Sescris de douleur peu feints ajoutaient à mon ...