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Diane chasseresse
Datte: 20/03/2018, Catégories: Humour, Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme
... sa femme et les jeux auxquels elle s'adonnaitavec d'autres dont moi. Elle était d'autant froide et distante avec luiqu'elle était docile et putain avec ces autres. J'hasardais pour peu quel'imbécile nous laissa un temps, de venir prendre la taille de mamaîtresse, de lui caresser les fesses et d'écraser un baiser dans soncou. Elle demeurait de marbre.Cette garce crut devoir me faire goûter un peu de l'humiliation du maricocu. Un jour sans prévenir elle m'annonça qu'elle avait changé lescénario. Elle avait convoqué à même heure un type que je connaissaispour la sauter dans la chambre d'hôtel. J'avais que quelques minutespour aller me cacher dans l'armoire dont elle avait débarrassé lecontenu et disposé un tabouret pour que j'y fus à l'aise. Elle ne medemandait que d’assister sans bruit à la séance. Par précaution la téléavait été allumée avec un son fort.Abasourdi j'obtempérais fulminant de l'étroitesse de l'armoire et de lapénombre où j'étais. Je trouvais sot d'être contraint à cette gaminerie.Surtout il me tardait de voir quel olibrius me contraignait à ce jeu. Jene fus pas peu étonné après qu'on eût frappé de découvrir la minefaraude de Milan. C’était le garagiste du quartier, un satané imbécile.Il faisait l'unanimité contre lui. Souvent en faisais-je ma tête de turcet n'avait de cesse de raconter des fables contre lui. D'autres enfaisaient autant. Je lui savais du goût pour les gamines. Aussi étais-jesurpris qu'il fut là.A présent j'éprouvais la morsure de l'humiliation. ...
... Il était hors dequestion que Milan me sut dans cette armoire. La catastrophe eût étésuprême et mon honneur à jamais bafoué. Je devais ronger mon frein etregarder. La scène était grotesque. Milan manifestement avait étéconvoqué ici bein malgré lui. Je sus plus tard que madame avait convenude payer de la sorte une réparation qui lui était hors de prix. Sonpaiement serait en nature. Assise au bord du lit elle invita le pataud àdéboutonner sa braguette afin qu'elle le suça. Cela dura dix minutes.Quasi une éternité.Le pauvre regardait au plafond comme s'il eût prié le ciel. Il avaittoujours sa tête d'abruti que j'eus volontiers giflé. Je me disais quecette putain ne m'avait jamais pompé avec tant de zèle. C'était pour lecoup me faire rager. Le porc à présent s'enhardissait lui caressant lecheveu, hasardant de grasses plaisanteries et enfin au comble del'excitation (car il l'avait joui) l'embrassant à pleine bouche. C'étaitdégueulasse car il savourait sur sa langue son propre foutre. J'eus àmon grand dam une érection. Tout cela m'excitait. J'en étais mortifié.Elle retira lestement sa petite jupe et se coucha sur le ventre. Ellel'intimait à lui dévorer le cul. Le gros se jeta sur elle. Avec songroin il lui dévora l'anus à peine protégé du fil gracile du string. Jesus par ses gémissements que rien n'était feint. Elle prenait son piedla garce. Elle se tourna afin qu'il lui lécha mieux la chatte. De parses jeux elle escomptait qu'il se revigore peu à peu et banda sec. Ilfut à point au ...