Fraternité étudiante (4)
Datte: 13/07/2017,
Catégories:
Gay
... contre lui , chacun offrant un trou béant, élargi par tant de coup de bites, à sa queue dressée. Quand la bite fut insérée et autre type vint se présenter pour une double. Mon trou était tellement ouvert, tellement chaud, rendu tellement glissant par tant de zobs couverts de gelée qui le ramonaient sans relâche depuis plus de deux heures et demie que la seconde verge entra sans problème et vint se caler contre celle, très longue, qui m’évasait déjà la "chatte". Le nouveau venu , tout en me tenant fermement les jambes me défourailla virilement. J’entendais les cris des mecs qui découillaient dans tous les coins de la pièce. Puis je sentis un liquide chaud m’envahir le rectum. Le mec éjaculait en moi. Il retira son nœud dégoulinant sous les applaudissements des quelques mecs qui avaient choisi de nous regarder. Le mec sur lequel j’étais couché me retourna et éjacula lui aussi. Il était à peine retiré que je sentis un choc violent. C’était Jeff qui me pénétrait sans ménagement. Il me prit en bouledogue et ce fut une avalanche de coups de pine dans le cul. J’étais au bord de l’effondrement, totalement harassé. Chaque coup de queue provoquait une sorte de décharge électrique dans mon pauvre cerveau. Il se retira et je sentis une pluie de foutre me recouvrir le dos. Il me fit sucer sa pine après et je le fis sans réfléchir vaincu par tant de fatigue que je n’avais plus de volonté. Je m’écroulai sur le ventre. Délicatement, un homme vint s’allonger sur moi. C’était Kyle.Il me fit ...
... de petits bisous sur la nuque, dans le coup en me murmurant de doux mots d’amour. Puis il glissa sur mon dos en continuant de m’embrasser, me massa les épaules pour me relaxer, me caressa les fesses, joua avec, les serrant, les élargissant, puis il bouffa mon cul gluant. Il vint ensuite m’embrasser sur la bouche puis s’allongea à nouveau de tout son long. Il écarta mes cuisses et lentement mit son pénis dans mon fourreau. Il aurait pu y aller franchement car le cul était à ce point délabré que la pénétration se fit sans souci. Et il me travailla tout en douceur lentement. J’étais complètement relaxé et me laissai aller à tant de délicatesse qui contrastait tellement avec le démontage dont j’avais été victime avant. Simplement il se fit un peu plus violent au moment de gicler, se tendant sur ses bras et je sentis toute sa crème me remplir et me satisfaire. Nous restâmes en long moment sans bouger, lui sur moi, les mains jointes. Je commençai à m’endormir. "Viens" me dit-il. Je le suivis. La fête avait dégénéré en partouze générale mais l’atmosphère mollissait. Des mecs avachis s’étaient endormis, la place s’était vidée et seuls deux dizaines de gars forniquaient encore sous les yeux indifférents de ceux qui ne roupillaient pas encore. Des corps gisaient, couverts de foutre. Nous remontâmes les escaliers et nous y croisâmes, ainsi que dans les couloirs, des groupes de deux ou trois qui se baisaient là. Quelques portes ouvertes montraient dans les piaules des premières années en ...