Fraternité étudiante (4)
Datte: 13/07/2017,
Catégories:
Gay
... train de se faire travailler docilement. Derrière des portes fermées, on entendait des râles orgasmiques. Nous atteignîmes notre chambre. Kyle me demanda de descendre les matelas des deux lits pour les mettre côté à côte. Il prit des draps. Nous nous étendîmes. Il s’allongea sur moi. J’ouvrai mes cuisses pour lui faire la place. Il m’embrassa. Nous nous roulâmes une pelle très longue. Mais nous étions vidés dans tous les sens du terme et nos sexes restèrent inertes. Alors il se mit sur le côté et nous nous endormîmes enlacés l’un à l’autre. Je me réveillai, pris par une incoercible envie de pisser. Je me levai et sorti, complètement nu, pour aller aux urinoirs. Les couloirs étaient vides. On n’entendait aucun bruit à part quelques mâles ronflements qui de temps en temps s’échappaient d’une turne. jwjxxpn Les toilettes n’étaient pas des plus propres. On y sentait encore l’orgie. De la pisse sur le carrelage, des traces de jute sur les cuvettes, tout montrait que la soirée s’était prolongée jusqu’ici à une heure avancée. Je regagnai ma chambre, pris une verre d ’eau et dénichai dans mes affaires un cachet de paracétamol pour calmer un mal de crâne assez puissant. Je me rallongeai à côté de mon "parrain" ou mon "amant", au fond je ne savais pas très bien. Mes sentiments étaient confus. Machinalement, je portai mes doigts à mon trou, très sensible, douloureux même. Je me remémorai la soirée avec un mélange de dégout et de plaisir. Je me demandai si je ne m’étais pas laissé ...
... emballé par l’ambiance. Je me sentais sali d’avoir été baisé par autant d’inconnus, ma bouche était encore gluante, comme si je n’arrivai pas à me débarrasser de tout le foutre que j’avais absorbé. J’éprouvais une sorte de honte. Que penseraient mes parents, mes amis de France... s’ils savaient ce que j’avais fait, s’ils savaient que j’étais gay ?Comment ferai-je mon coming-out en rentrant en France ? Le ferais-je jamais ? Et Kyle, étais-je vraiment amoureux de lui ? Ne m’étais-je pas engagé trop vite. Je le regardai. Allongé sur le ventre, une jambe repliée sur l’autre, le drap baissé découvrant quasiment tout son corps, je le contemplai. Ses beaux cheveux frisés, son corps musclé, sa peau douce et ferme, les poils légers lui couvrant les cuisses et la raie, je dus reconnaître qu’il était très beau. Je me mis à bander. J’avais envie de lui, tellement et surtout tellement envie qu’il me prenne dans ses bras, qu’il me protège, qu’il me confirme les mots d’amour qu’il avait prononcés la vieille au soir. Mais était-ce de l’amour ? En fait, il avait la réponse. Je voulais qu’il m’aime pour être sûr de l’aimer. N’y tenant plus, je m’approchai de lui. Je commençai à le caresser, l’effleurant à peine, puis à l’embrasser timidement dans le cou, la nuque, sur les épaules. Ma main descendit sur ses hanches ses fesses, ses cuisses. Il se réveilla avant que je ne lui prisse le sexe. Il se retourna, s’étira, écarta ses jambes. Je continuai à l’embrasser, sur les seins, les aisselles, dans le ...