1. Fraternité étudiante (4)


    Datte: 13/07/2017, Catégories: Gay

    ... cou. Il commençait à bander. Puis, délicatement, il passa son bras derrière ma tête et m’attira à ses lèvres en disant : "My beautiful baby french". Nous nous embrassâmes doucement, lentement, langoureusement. Puis je m’assis. Il en fit autant face à moi. Et je lui demandai : "est-ce que tu es amoureux de moi, je veux dire vraiment "? Il me reprit par la nuque et colla mon front contre le sien, nos nez se touchaient, nos bouches étaient presque l’une sur l’autre. Il me répondit qu’il était fou amoureux de moi, qu’il n’avait jamais aimé personne autant que moi avant. Je lui demandai de me le promettre, ce qu’il fit em me demandant en retour de faire la même chose. A ce moment, je n’avais plus de doute. Je le lui promis, en pleurant de bonheur. Nos langues se cherchèrent, se trouvèrent, s’enlacèrent. Je m’allongeai, écartai les cuisses et l’invitai sur moi. Il me couvrit, son sexe plaqué contre le mien, terriblement dur. Je mis mes mains sur son dos. Il me bombarda de baisers, vint lécher mes tétons, mon nombril. J’accrochais mes mains dans ses cheveux, le laissant avaler ma queue qu’il mangea longtemps, sans oublier mes burnes. Je le suppliai de me sodomiser. Je relevai ma croupe. Il chercha un ...
    ... tube de gel mais je lui demandai d’essayer sans pour mieux sentir sa force me déchirer et avoir l’impression d’être plus à lui. Il me mangea la rondelle, l’ouvrit de ses doigts et la força. J’eus mal mais pas trop. Il fit attention, s’y reprit à plusieurs fois, entrant, sortant, jusqu’à ce que je mouille et me dilate. Enfin il fut tout au fond de moi. Il bougeait lentement, je me cramponnai à ses fesses. Nous nous palochions sans arrêt. Puis je lui dis d’accélérer mais il fit à son rythme. Parfois, il se reculait pour mieux me bouffer les seins ou les aisselles, puis reprenait ma bouche. Mon excitation grandissait et je finis par jouir sans me toucher en sentant mon trou se contracter sur sa verge à chaque shoot de sperme. Ma semence dégoulinait le long de mon ventre. Il y plongea les doigts, puis les lécha avant de me rouler une mégapelle pendant laquelle il accéléra brusquement son va et vient, se crispa et éjacula dans mon cul. Il s’affaissa sur moi. Nous restâmes ainsi très longtemps. Je lui demandai ce qui allait se passer maintenant. Il se retira, s’assit et m’attira à lui. Je m’allongeai, la tête sur ces cuisses, contre son torse sur son sexe qui sentait la sueur et le sperme. A suivre 
«1234»