Colis piégé
Datte: 21/03/2018,
Catégories:
f,
ff,
ffh,
fagée,
inconnu,
Collègues / Travail
groscul,
fdomine,
Masturbation
Oral
jouet,
jeu,
humour,
hff,
... guichetière, passer son tour sans moufter. Elles doivent avoir mis un truc au point pour éviter les jalousies et les frustrations, un jeu dont je vais être le gage, ou quelque chose du genre. Avec en prime ce soir, l’espoir de la célébrité que devrait leur assurer ma prochaine publication. — De deux choses l’une, Monsieur, commence l’élégante. Soit vous êtes l’auteur de ces lignes, et vous avez induit l’administration en erreur par un usage abusif de pseudonyme. Soit vous n’êtes pas l’auteur, et vous êtes coupable de contrebande de pornographie.— Je suis l’auteur, Madame, et je peux le prouver. Mais je comprends aussi que votre jugement sera sans appel. Dites-moi comment vous satisfaire et j’obéirai au plus près de ma conscience.— Et de vos forces viriles ? demande Corinne restée en retrait, mais visiblement impatiente de poursuivre ce que nous avons si agréablement commencé.— Je n’oserais présager ni du meilleur, ni du pire, mais le cœur y est.— Il est savoureux, non ? Et bien bâti, en plus. Tu ne seras pas déçue.— Alors au travail ! Elle me tend quelques feuilles de papier et me donne moins d’une heure pour écrire une nouvelle érotique qui pimente leur train-train administratif. Si je suis bon, elles me feront partager leur émoi. Sinon, elles me jetteront dehors, avec ou sans mes bouquins, suivant leur humeur. La tâche me semble soudain aussi vaste que leurs tours de poitrine. D’autant que, pour compliquer l’affaire, elles m’imposent d’inclure dans mon récit trois objets ...
... posés sur le bureau. Encore échauffé par ce que Corinne m’a fait découvrir de ses charmes, je me mets immédiatement au travail. En peu de temps, je trouve un cadre à mon histoire, un fil rouge s’impose, des personnages prennent vie, les hasards de la vie les font se rencontrer, ils sont prêts pour des aventures excitantes. Malgré l’urgence, j’arrive à ficeler un truc crédible. Reste à placer les détails les plus chauds aux bons endroits, tout en incluant les accessoires imposés dans le cours naturel de l’aventure. Entre temps, les deux copines se sont mises à la lecture des autres ouvrages licencieux. Elles commentent les passages les plus gratinés en pouffant de rire, n’hésitant pas à jouer l’une ou l’autre scène, pour en vérifier la faisabilité, comme elles le prétendent. En réalité, ces jeux sont le prétexte à des frôlements et des attouchements de plus en plus explicites. La température monte de plusieurs degrés dans le local de tri. J’ai de plus en plus de peine à détourner le regard de ces deux femmes qui se dénudent et se caressent au gré de ce qu’elles découvrent dans les bouquins séquestrés. Lorsque mon attention pour leur manège faiblit, elles ajoutent des soupirs et des gémissements à leurs mignardises, tout en suivant du coin de l’œil l’effondrement de mon impassibilité. Au début, j’arrive tant bien que mal à cacher mon trouble et continue à écrire. Mais, plus mon excitation augmente, moins mon texte est cohérent. Sans parler du troisième objet érotique, pour lequel ...