Colis piégé
Datte: 21/03/2018,
Catégories:
f,
ff,
ffh,
fagée,
inconnu,
Collègues / Travail
groscul,
fdomine,
Masturbation
Oral
jouet,
jeu,
humour,
hff,
... je manque cruellement d’imagination. Les timbres placés sur les zones érogènes d’une jolie fille, puis décollés un à un par une langue masculine, ça c’est fait ! Je suis même assez fier de ma description du décolleur en pleine action, la queue aussi raide que la mienne à l’instant. Il faut dire que la Marianne 2013, version «femen, mais pas que », porte en elle le germe des pires dérapages (1). Quant au tampon oblitérateur solidement empoigné par une cinquantenaire désinhibée, c’est aussi fait (2). Reste une petite lampe à UV sur laquelle je sèche. D’autant que, stimulé par les deux nanas, j’ai déjà amplement dépassé le quota de volupté habituel dans une nouvelle érotique de vingt mille signes. Impossible d’ajouter la moindre éjaculation, ou la plus petite coulée de mouille sans tomber dans la pornographie, ce que je dois éviter à tout prix. Plus le temps passe, plus une folle envie de me joindre aux fonctionnaires lubriques me crispe le ventre, malgré l’inexorable approche du délai de remise de ma copie. C’est là que réside la perfidie de leur punition. Vu ce qu’elles m’imposent de contempler, c’est imparable. Elles perçoivent d’ailleurs rapidement la baisse d’intensité dans mon travail. C’est le moment qu’attendait Brigitte, dont la blouse est largement dégrafée, pour s’approcher de moi les yeux brillants d’envie. Je craque et tends les mains vers elle. Damnation, juste avant que j’arrive à m’emparer de ses seins, elle recule et commence un affolant strip-tease. À chaque ...
... pièce de vêtement qui tombe, elle approche de ma bouche ce qu’elle vient de libérer pour me le faire lécher. Mais seulement lécher, sous peine de prolongation de punition. Je déguste avec application les larges bouts de ses seins qui durcissent sous ma langue, j’humecte la fine peau de ses aisselles, tatoue son ventre de suçons écarlates, énerve de la langue le sillon de ses fesses. Je voudrais tout toucher, tout goûter. Et des friandises, elle en a à offrir ! Des seins lourds, un cul d’enfer, des hanches parfaitement galbées J’embrasse à pleine bouche ce qui passe à ma portée. Je suce, je tète, je fais mouiller, je bande, je survire grave. M’interdisant toujours de la toucher, elle se caresse l’entrejambe pendant que je la parcours de baisers appuyés. Lorsque ma respiration a atteint le degré d’agitation désiré, elle s’agenouille devant moi et libère ma queue de sa prison de tissu. Elle commence par déposer de toutes petites caresses sur la pointe. Puis elle gobe goulûment mon nœud, qu’elle se met pomper comme une reine. Des lancées voluptueuses envahissent mon ventre. Après quelques lapements, elle fait glisser mon pieu violacé hors de sa bouche, pour mieux contempler la bête qui tressaute, tel un poisson hors de l’eau. Elle finit par plonger sa langue dans le méat qu’elle dilate à fond. La sensation, à mi-chemin entre douleur et volupté, est délirante. Corinne ne laisse pas Brigitte seule avec son fantasme. Elle vient se blottir contre mon dos, les pointes de ses seins ...